Préface de l'étude


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LES « TRIANGLES NOIRS »


à quoi doit-on se préparer ?





Les mystérieux « triangles noirs ».

Bien que la présente étude porte sur les ovnis de forme triangulaire en général, je vais plus particulièrement aborder le phénomène des « triangles noirs ». Ces observations, et les témoignages qui en découlent, représentent une part non négligeable des cas que je vais exposer dans ce livre. 

Pour moi, les « triangles noirs » sont un vrai mystère et posent de nombreuses questions qui restent pour le moment sans réponse. S’ils rentrent dans la catégorie générale des objets volants non identifiés (ovnis) qui comprend de nombreuses sous-catégories, ils occupent néanmoins une place à part dans ce vaste ensemble depuis qu’ils sont impliqués dans de très nombreuses observations à travers le monde depuis le début des années 80 environ. 

C’est une réalité incontournable : les affaires impliquant des « triangles noirs » n’ont pas cessé d’augmenter depuis ces dernières années. Rien qu’en France par exemple, l’association Ovni Investigation basée à Lyon a enquêté sur plusieurs dizaines de cas depuis le début des années 2000. 

Il était donc urgent de se pencher sérieusement sur ce phénomène qui semble prendre de l’ampleur au fil des années et qui comporte un aspect inquiétant. Il est évident que je ne vais pas présenter ici tous toutes les affaires d’ovnis impliquant des « triangles noirs ». 

Mon livre n’est pas un catalogue ufologique. L’originalité de cette enquête repose principalement sur la relation de cas qui sont inédits et qui ont été enquêtés par mes soins. Je délivre donc, le plus souvent possible, de l’information de « première main », et je ne me contente pas d’emprunter aux études déjà existantes.    

  

 

   

L'alerte lancée par le rapport COMETA.


En 1999 a été publié un document d’une très grande importance concernant le phénomène ovni. Il s’agit du rapport fameux COMETA (acronyme du COMité d’ETudes Approfondies) dont le titre était : Les OVNIS et la défense, à quoi doit-on se préparer ? A l’époque, cette étude réalisée par des militaires et des scientifiques de haut niveau, n’a pas eu l’impact espéré. La presse « mainstream » l’avait soit totalement ignoré, soit violemment attaqué (notamment le magazine l’Express avec un article daté du 5 août 1999 intitulé : Ovnis : Un rapport délirant). Les deux principaux quotidiens nationaux, Le Figaro et Le Monde, n’ont pas consacré une seule ligne à cette étude pourtant exceptionnelle qui apportait des pièces solides au dossier ovni. De fait, le rapport est vite tombé dans l’oubli, en France du moins, mais il a cependant bénéficié d’une certaine audience à l’étranger (voir l’article : The truth is out there de Leslie Kean, publié dans Irish Independent, le 17 juin 2000).








Télécharger et lire le Rapport COMETA.
Lien (fichier PDF) :
LE RAPPORT COMETA texte intégral.


Il serait vraiment intéressant d’analyser les raisons profondes qui ont motivé cet étrange silence des médias ou ce rejet violent, non seulement du magazine l’Epress, mais aussi de la part de chercheurs (Pierre Lagrange entre autres), dont on comprend mal les motivations. A noter aussi un article de l’encyclopédie en ligne Wikipédia, qui présente le rapport COMETA « de manière sceptique et biaisée » (Gildas Bourdais), fidèle en cela à sa façon partisane, et je dirais presque malhonnête, de traiter le sujet ovni dans ses articles.

Il existe selon moi deux raisons principales qui pourraient expliquer cet état de fait : 

.1) Les mentalités ne semblent pas avoir beaucoup évolué dans notre pays depuis les années 60 (la faute à qui ?), et une minorité d’intellectuels récalcitrants n’est pas encore prête à entendre certaines vérités sur les ovnis. 

.2) La question ovni est si sensible, et la divulgation de la moindre information crédible sur ce sujet est si dérangeante pour certaines « officines occultes », qu’un « cover up » généralisé à été instauré, et les médias ont tous été muselés. Conséquence : malheur à celui qui oserait briser la loi du silence. Depuis 2006 l’association COMETA est officiellement en sommeil et ses membres semblent faire profile bas. Il n’est pas impossible, selon moi, que ceux qui ont participé à la rédaction du rapport ont été victimes de « pressions » dont l’origine est à rechercher du côté de ces mystérieuses « officines occultes » qui ne tolèrent aucune entorse à l’omerta qui entoure la question des ovnis.

Je souligne le fait que les « officines occultes » dont je parle correspondent bien à une réalité. Ce n’est pas qu’un fantasme qui serait né dans l’esprit « malade » d’un conspirationniste. Pour bon nombre de nos contemporains, en effet, un conspirationniste est forcément un « malade mental » qui a une vision « déformée » de la réalité. Comme dit très le bien le proverbe : « qui veut noyer son chien l’accuse d’avoir la rage ».

Robert Salas, ancien colonel de l’armée américaine et témoin direct de la désactivation de missiles porteuses de l’arme nucléaire sur la base de Malmstrom (Montana) en mars 1967, affirme qu’il existe au niveau international un vaste système de dissimulation, « the silence group », qui cherche à cacher toutes les informations officielles sur l’implication des ovnis dans notre système. Robert Salas, qui offre toutes les garanties de sérieux et de santé mentale, appelle ce système, « la cabale sur les ovnis » (« the ufo cabal ») dont il est convaincu qu’il s’agit d’une véritable conspiration mondiale. Pour lui, on est en face d’un groupe occulte très puissant dans lequel sont impliqués les militaires, le monde du renseignement, le contrôle de l’air et des océans. Il n’est donc pas déraisonnable de penser que la « bombe médiatique » qu’aurait dû être le rapport COMETA a été désamorcée dès le départ par ce groupe occulte qui a exercé une pression maximale sur toute la presse « mainstream » de notre pays, tuant ainsi dans l’œuf une prise de conscience de nos concitoyens de l’importance du sujet ovni. 

Le titre de ce chapitre reprend la formule qui avait été utilisée par les rédacteurs du rapport : « A quoi doit-on se préparer ? ». En 1999, quand j’ai lu ce texte, j’ai compris l’importance du message d’alerte qui était perceptible à travers tout le document, et c’est en partie à cause de son sous-tire (« à quoi doit-on se préparer ? ») que le rapport COMETA a fait sur moi une grande impression.

« A quoi doit-on se préparer ? », la question était abrupte, mais elle avait le mérite d’être clairement posée. En même temps qu’elle semblait lancer un message d’alerte, elle voulait peut-être nous dire : réveillez-vous, prenez conscience de ce qui se passe au-dessus de vos têtes, mobilisez-vous et concertez-vous ! Ne restez pas passifs vis-à-vis d’un phénomène que vous ne comprenez pas mais qui est potentiellement dangereux. Ce phénomène nous concerne tous. Du moins, c’est comme cela que je l’ai compris. Ce qui est certain, c’est qu’elle laissait entendre que nous allions sûrement être confrontée, à plus ou moins brève échéance, à des événements imprévisibles et exceptionnels dont l’origine et la nature restaient encore très mystérieuses.



Ci-dessus de gauche à droite : André Lebeau, Christian Marchal, Michel Algrin, Denis Letty, Marc Merlo, Alain Orszag, Bernard Norlain.


Dans sa préface, le général Bernard Norlain (ancien directeur de l’Institut des hautes études de la défense nationale ou IHEDN) annonçait que le rapport COMETA n’était pas une étude purement académique. Au contraire, il exposait des « problèmes » concrets (les « problèmes » c’étaient les ovnis, le « paramètre extérieur » de la commission SIGMA) auxquels étaient confrontés les pilotes civiles et militaires, et que ces « problèmes » appelaient une réponse en termes d’action.

Dans le chapitre intitulé « Conclusion et recommandations », nous pouvions lire ce que le rapport préconisait en termes d’actions (Je ne cite que les principales recommandations) :

- Développer les possibilités d’enquêtes sur le terrain et d’analyse.
- Recueillir les informations relatives à toutes les manifestations d’ovnis, tant en Europe que dans le monde.
- Entretenir et développer des bases de données sur les différents aspects de ces manifestations.
- Elaborer toutes hypothèses prospectives.
- Promouvoir des actions scientifiques et techniques et disposer de budgets conséquents.
- Participer à la mise au point d’accords sectoriels de coopération avec d’autres pays.
- Réfléchir aux mesures à prendre dans l’éventualité d’une prise de contact directe avec les pilotes des ovnis. 
- Réfléchir aux mesures à prendre dans l’éventualité d’un atterrissage d’ovnis avec de nombreux témoins.
- Réfléchir aux mesures à prendre dans l’éventualité d’une ou de plusieurs manifestations spectaculaires du phénomène ovni.

Toutes ces recommandations étaient très concrètes. Elles demandaient aux institutions civiles et militaires (grandes écoles dépendant de la défense, services spéciaux civils et militaires) de mettre en place le plus rapidement possible un plan d’action afin de faire face à des situations qui pourraient se révéler alarmantes, ingérables, et dont la probabilité qu’elles surviennent semblait relativement élevée.

En tant que responsable d’une association ufologique privée (Ovni Investigation) qui étudie le phénomène ovni, je ne peux que souscrire aux sages recommandations du COMETA. Les membres du Comité avaient parfaitement cerné le « problème » à l’époque, et ils avaient aussi compris qu’il était urgent d’élaborer une stratégie à grande échelle si nous ne voulions pas être confrontés à une panique générale des populations dans le cas où les ovnis auraient décidé de passer à une phase plus « offensive » de leurs manifestations. Quand je dis « offensive », cela ne veut pas dire que les ovnis aient nécessairement des intentions hostiles et belliqueuses envers nous, mais ils pourraient en revanche se montrer à l’avenir de façon plus directe (contacts ouverts avec de nombreux humains) et spectaculaire (survols massifs des agglomérations par exemple) aux populations. Leurs manifestations pourraient être plus « explicites » si je puis dire, et moins élusives comme cela a été le cas jusqu’à présent.

Je pense en effet, qu’il faut que nous assimilions collectivement l’idée que nous devons nous préparer à une action plus « offensive » (plus « explicite » et ouverte) de la part des ovnis dans des délais qui sont peut-être très courts. Si je lance cette alerte c’est parce que j’ai de très bonnes raisons de le faire. Des signes évidents suggèrent que le déroulement du « plan », préparé de longue date sans doute, par les visiteurs extraterrestre est passé à une vitesse supérieure. J’utilise volontairement le mot « plan », car il est impensable selon moi, qu’une action de cette envergure commanditée par une intelligence étrangère n’obéisse pas à une stratégie savamment programmée. Mes conclusions sont que les manifestations d’ovnis auxquelles nous assistons sans pouvoir rien faire, rentrent toutes dans une sorte de « planning » global qui doit nécessairement aboutir à un « résultat » à plus ou moins brève échéance. Les conclusions auxquelles je suis parvenu sont que ce planning et ce « résultat » ne seraient en définitive que les différentes phases d’un vaste système d’apprentissage, ou « d’acculturation », qui serait planifié par une intelligence exogène au niveau de notre planète. Je rappelle qu’en anthropologie le terme « d’acculturation » renvoie à l’ensemble des phénomènes résultant d’un contact continu et direct entre groupes d’individus appartenant à différentes cultures, civilisations ou ethnies, et aboutissant à des transformations qui affectent les modèles culturels originaux de l’un ou des deux groupes. Bien qu’en principe, les changements soient mutuels, il existe généralement un groupe qui domine, le groupe dominant, qui jouit d’une influence culturelle plus forte que l’autre groupe (Redfield, Linton et Herskovits). Nous serions donc, en ce moment même, dans une phase d’apprentissage renforcée de type « Skinner », du nom du psychologue américain inventeur d’un dispositif de conditionnement, et dont les travaux sont à la base de l’enseignement programmé. Je développe cette thèse dans un chapitre de mon livre : Fatima le quatrième secret, la plus grande entreprise de communication entre l’humanité et les extraterrestres (Editions Québec-Livres, 2015). Le chapitre s’intitule : Fatima : une « phase » dans un plan plus vaste (page 79).






 
Regarder la réalité en face pour ne pas céder à la panique.

Depuis quelques années nous (c’est-à-dire l’association Ovni Investigation) recevons de très nombreux témoignages concernant le survol de nos villes, de nos installations nucléaires (civiles et militaires) et de nos campagnes, par des engins inconnus ayant l’aspect de « triangles noirs ». Ces témoignages font l’objet d’enquêtes au sein d’une structure (Le Réseau) qui, pour le moment, a choisi de rester discrète, tant sur ses activités que sur l’identité de ses membres. Nous entendons travailler en toute tranquillité et nous ne nous préoccupons que de faire progresser nos connaissances sur le phénomène ovni. Je peux simplement dire que Le Réseau est un groupe privé indépendant qui reprend volontiers à son compte les recommandations du COMETA citées plus haut, et qui mène, avec la bonne volonté et l’engagement d’une quarantaine de membres, une action concrète sur tout le territoire français.

Nous avons déjà publié sur le site Internet Ovnis-Direct des témoignages dans lesquels étaient impliqués les mystérieux « triangles noirs ». Dernièrement, un court article était consacré à une vague d’ovnis triangulaires aux Etats-Unis. Cette vague a commencé le mardi 20 décembre 2016, et depuis, on note un nombre croissant d’observations d’ovnis triangulaires dans ce pays, dont 21 ont été signalées rien que sur la période de décembre 2016. Les rapports d’enquêtes qui émanent du MUFON (Mutual UFO Network) mettent en évidence des objets de grande taille qui se déplaçaient lentement et à des altitudes relativement basses.

Suite à ces très nombreuses observations de « triangles noirs » qui ont fait l’objet d’enquêtes approfondies de notre part, les questions urgentes que nous nous posons sont celles-ci :

- D’où viennent ces engins ?
- Par qui sont-ils pilotés ?
- Quelles technologies utilisent-ils ?
- Pourquoi survolent-ils notre territoire avec insistance ?
- Quelles sont leurs intentions envers les populations ?
- Cette sorte de « surveillance » permanente obéit-elle à un plan, et si oui, lequel ?
- Les organismes officiels tels que l’armée de l’air, la gendarmerie nationale, le CNES, les services de renseignements, sont-ils conscients de la situation, et si oui, quelles actions mènent-ils sans en informer les populations ?
- Dans le cas où les organismes officiels que je viens de citer mèneraient des actions soutenues visant à surveiller les activités des ovnis, pourquoi ces actions sont-elles gardées secrètes ?
- Quelle est l’étendue des connaissance de ces organismes au sujet des ovnis ?
- La présence des « triangles noirs » étant largement avérée, à quoi devons-nous nous préparer ?
- Allons-nous bientôt faire face à une situation exceptionnelle que nous n’avons pas anticipé ?
- Sommes-nous en danger ?
- Que devons-nous craindre ?

J’estime qu’il est grand temps d’avertir nos concitoyens sur la situation et de leur dire ce qui se passe réellement dans notre espace aérien. Il faut appeler un « chat un chat » si je puis dire, et ne plus faire comme si il ne se passait rien. Il est grand temps d’ouvrir les yeux sur la réalité du phénomène ovni.

Je pense, en effet, que plus rapidement le public sera informé et mieux il réagira à ce qui doit arriver.

Le déni n’a jamais été une bonne stratégie pour affronter la réalité. Seule une prise de conscience claire et sereine, débarrassée de toutes les idées fondées sur de certitudes fausses, nous donnera le pouvoir de regarder les faits tels qu’ils se présentent et d’y faire face sans céder à la panique. La prise de conscience qui doit s’opérer au sujet des manifestations du phénomène ovni repose sur la lucidité et la responsabilité. Il est urgent que nous adoptions enfin une attitude « adulte » vis-à-vis des ovnis, et agir en conséquence.


Daniel Robin Président de l'association Ovni Investigation Créateur du Réseau national d'enquêteurs






















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Une étude exceptionnelle