Enquêtes 3.


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ENQUETES REALISEES
PAR OVNI INVESTIGATION
Partie 3



Nous présentons sur cette page les principales enquêtes réalisées par l’équipe d’enquêteurs de l’association Ovni Investigation. Ce sont des enquêtes qui ont été effectuées sur le terrain auprès des témoins concernés. Elles représentent un énorme travail d’investigation qui a toujours été fait de façon bénévole. Je remercie tous les enquêteurs de l’association qui n’ont pas hésité à donner de leur temps et de leur énergie pour faire avancer la recherche sur les ovnis.

Daniel Robin
Président de l’association Ovni Investigation



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- Enquête -
AFFAIRE ORVAULT
(Orvault - Nantes)
Septembre 2019 - Loire-Atlantique





Récit du témoin (premier message).

Bonjour,

« Je m’appelle Christian D. (le témoin souhaite garder l’anonymat). Je suis cadre dans une entreprise et je suis chargé de conduire des projets techniques. Chaque soir je dois brancher ma moto électrique. Pour charger ma moto, je branche une rallonge sur mon balcon qui descend le long du mur des 3 étages de mon immeuble pour effectuer le branchement. Donc, comme d’habitude, je vais sur le balcon, et je vois quelque chose d’inhabituel en face de moi au-dessus des toits voisins. Je vois un triangle noir avec 3 points lumineux. Ce lundi soir 2 septembre 2019 à 22h40, le ciel était bien dégagé, et le ciel étoilé était clair. Le triangle est resté un peu en vol stationnaire, en silence, puis il s’est déplacé vers l’Ouest. Du haut de mon balcon, la zone de la cour intérieur est sombre et l’horizon dégagé est légèrement éclairé par les lumières de la ville. C’est cela qui m’a permis de voir le triangle noir. L’objet semblait être au-dessus de la gare ou de la Loire. Le silence était impressionnant et le triangle a effectué une rotation. Il volait lentement et en silence. La perspective des points lumineux était différente lors du mouvement du triangle. Cela a duré au moins 5 minutes. L’ovni a été caché ensuite par les bâtiments voisins. Durant mon observation j’ai d’abord été stupéfait, puis j’ai analysé, et ensuite j’ai crié à ma compagne pour qu’elle vienne voir l’ovni, mais elle ne m’a pas entendu. Je suis sorti de chez moi dans la rue et je suis allé vers la gare de Nantes, mais dans la rue avec les lampadaires, je ne voyais absolument plus rien. J’ai l’habitude de voir passer les avions au-dessus de chez moi avec du bruit, mais ce que j’ai vu ce soir-là n’avait rien à voir avec un avion ordinaire. »

Orvault, le 13/09/2019.




Ci-dessus : Position et champ de vision du témoin par rapport à l'ovni triangulaire noir. En haut, vue aérienne de Nantes. En bas, plan de Nantes et légendes ajoutées par le témoin.


Compte-rendu de l'enquête faite auprès du témoin. 

Bonjour Daniel,

Voici le compte-rendu de l’enquête que j’ai réalisé (faite par Xavier S., lui-même témoin d'un triangle à Nantes en 2016), le 12 septembre 2019, chez Monsieur D.

M. D. a fait son observation le 2 septembre 2019 (moi j’ai fait mon observation fin août 2016). Il a 52 ans (j’avais aussi 52 ans le jour de mon observation !). Le triangle que j’ai observé en 2016 a dû passer sur le lieu d’observation actuel du témoin (Bouguenais Tour Bretagne, gare, Sorinières).

M. D. regardait la télévision, puis il décida vers 22h40 de brancher sa moto électrique, comme tous les soirs. J’ai pu vérifier : il y a bien une prise murale sur le balcon. En se dirigeant vers le balcon, son regard fut attiré par une forme inhabituelle dans le ciel, en face de lui. Il s’agissait d’un  triangle noir équilatéral (d’un noir profond) volant (statique au début), de grandes dimensions que le témoin estime à environ 150 mètres pour les trois côtés (voir calcul approximatif avec sa main tendue sur le triangle). Le témoin a distingué aussi trois « cercles lumineux » blancs à chaque extrémité du triangle. Le témoin a d’emblée rejeté l’idée qu'il pouvait s’agir d’un avion. Il a l’habitude de voir passer (plus loin et plus haut) les avions qui empruntent toujours le même couloir aérien. Contrairement aux avions, le triangle n’émettait aucun son. Il était statique (au début de l’observation), et il n’avait aucun  feu clignotant.

Subjugué, le témoin a vu le triangle pivoter tout doucement pour avancer lentement vers l’Ouest. Ce n’est que lorsque le triangle a commencé à bouger (à pivoter plus exactement), que le témoin a pensé qu’il s’agissait d’un ovni. C’est aussi à ce moment que le témoin a crié en direction du salon « Pascale, viens voir vite ! », pour alerter sa compagne qui lisait dans une pièce voisine (dans la chambre à coucher). Sa compagne resta sans réaction, continuant à lire. Aux dires du témoin, elle aurait du l’entendre puisqu’elle n’était pas très loin de lui.

Le lendemain de son observation, vers 22h40, le témoin répéta la scène, sa compagne dans la chambre entendit parfaitement son compagnon. Moi-même j’ai constaté, le 12 septembre, vers 21h, que le témoin, en élevant à peine la voix, sur le seuil du balcon a appelé sa compagne qui se trouvait dans une pièce voisine du salon. Celle-ci lui a répondu instantanément. Je suis moi-même témoin : sa compagne aurait du forcément entendre les cris de son ami le soir de son observation.

Le témoin a aussi insisté sur le silence total qui régnait lors de son observation. Non seulement le « vaisseau » ne produisait aucun son, mais aussi tous les bruits de la ville (le témoin est proche de la gare) avaient disparu. J’ai fait la remarque au témoin sur le balcon, vers 21 h qu’il y avait une télé allumée chez les voisins qui faisait pas mal de bruit. Il m’a confirmé que les voisins âgés, durs d’oreille, montaient beaucoup le son de la télé jusque tard, vers minuit, le soir. Or, le soir de son observation, il n’entendait rien, y compris le son de la télévision des voisins. Le son environnant est revenu lorsque le triangle est sorti de son champ de vision. On peut dire à coup sûr que le témoin a éprouvé l’effet d’isolement sensoriel, appelé aussi « effet Oz ».

J’ai pu constater sur le balcon, vers 21h, que le témoin n’a pas pu être perturbé par une quelconque pollution lumineuse. Pas de réverbère dans le champ de vision.

Après que le triangle eu disparu, le témoin descendit dans la rue, vers la gare, mais en levant les yeux, il ne put rien voir. De plus, les lumières des réverbères, cette fois-ci, le génèrent beaucoup pour observer le ciel.

Le témoin n’a à aucun moment de son observation ressenti la peur (ni après l’observation). Il était surtout subjugué, dans un état de sidération. Juste après son observation (le lendemain aussi), il était très excité (recherches sur le net jusqu’à tard dans la nuit, déplacement au commissariat le lendemain).

J’ai moi-même appelé Presse Océan et le journal Ouest-France le 11 septembre, après le 1er entretien téléphonique avec le témoin. Aucun autre témoin ne s’est manifesté à ces journaux.

Concernant la vie personnelle du témoin, celui-ci m’a dit qu’il est sourcier. Il a aussi des dons de prémonition.  Il a déjà connu une expérience paranormale. A 13 ans, il a connu un phénomène de décorporation. Il m’a avoué avoir eu très peur.

Le témoin pratique la méditation, pour le bien-être, et la recherche d’une certaine philosophie de vie. Bègue, plus jeune, il a effectué un « travail » pour mieux maîtriser ses émotions, avec la pratique d’arts martiaux et du yoga.

Le témoin m’a dit que s’il avait pu voir cet ovni, c’est peut-être parce qu’il a toujours recherché un certain « style de vie ». Il m’a dit 2 ou 3 fois au cours de notre entretien qu’« en fonction du mode de pensée que l’on peut avoir, on se trouve sur une autre fréquence. »

J’ai demandé au témoin s’il entendait sa respiration, lors de l’isolement sensoriel (lors de mon observation, je ne m’entendais plus respirer ; je me sentais aussi comme « léger dans mon corps »). Il n’a pas pu me répondre sur ce point. Mais j’ai oublié de lui demander s’il entendait sa voix quand il a crié à sa femme de venir voir le phénomène. Je pense que c’est important de lui poser la question.

Le témoin veut apporter son témoignage à la gendarmerie. 
Il est disposé aussi à participer au(x) prochain(s) Repas Ufologiques de Nantes.

Restant à ta disposition.
Amicalement
Xavier S.



Ci-dessus : Reconstitution faite par le témoin des différentes phases de son observation. En haut, les lieux de l’observation la nuit, avant et pendant l’observation. Tout en bas, les mêmes lieux photographiés de jour.



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- Enquête -
AFFAIRE SAVENAY 
Le triangulaire était-il un TR-3B ?
Février 2018 - Loire-Atlantique
 


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Récit du témoin (premier message).

« J’allais chez un ami qui habite proche de Savenay (44260) et de l’axe routier Nantes - Saint Nazaire. J’ai tourné sur ma droite et en regardant, j’ai aperçu dans le ciel un ovni, après recherche sur le net, il s’avérerait qu’il s’agissait sûrement d’un TR3B en vol stationnaire. Je ne pouvais pas m’arrêter sur le bas-coté de la route car une voiture me suivait et nous étions sur une petite route de campagne. Le temps d’arriver et de me garer, je suis sorti de mon véhicule et malgré avoir pris mon téléphone pour filmer, il était trop tard, l’objet disparaissait dans les nuages en s’éloignant. L’objet était triangulaire, un éclairage blanc à chaque angle et au début (à la pointe de l’engin) une lumière jaune diffusant (je voyais la diffusion du jaune dans l’air) au centre, puis rouge (éclairage normal). Sur l’épaisseur visible de l’engin il y avait comme des « fenêtres » éclairées (après je vous dis que je l’ai vu de loin et de nuit). Pour moi, l’objet était approximativement entre Bouvron et Malville dans le département 44. »
 
  

Récit du témoin (second message).

« Messieurs,
J’ai préférer vous répondre tout de suite comme ça, c’est fait.
Veuillez trouver ci-joint un dessin représentant ce que j’ai vu et qui ressemble énormément à un TR3B (un plan google Maps et un Google Earth).
Je rectifie l’angle de vision du premier message, l’engin était plus dans l’axe Savenay-La Chapelle Launay-Campbon.
Comme décrit dans mon premier message (ci-dessus), le 15/02/2018, je me rendais chez un ami car je devais y être pour 20h.
J’ai tourné sur ma droite en voiture, l’engin était visible, stationnaire et bien net au travers de mon pare-brise, au 2/3 en partant de la gauche et idem en partant du bas.
Il y a une courbe sur la petite route et l’engin était à ras du bord de droite de mon pare-brise, même hauteur en partant du bas du pare-brise.
Vis-à-vis de ma vision, le flan visible faisait environ 35 cm (peut-être même un peu plus, il faudrait que je retourne sur place pour revoir la scène).
Je pense qu’il était à environ 250 mètres d’altitude, et en y réfléchissant, suite à notre discussion téléphonique, entre 5 et 10 km de distance.
Je ne pouvais pas m’arrêter car un véhicule me suivait de prés et de ce fait j’ai pas pu filmer la scène.
Une fois arrivé et garé, l’engin s’est déplacé et il a disparut dans les nuages qui étaient bas.
Concernant le reste, tout est dans mon premier message.
Je reste à votre disposition pour tout complément d’information.
Cordialement.
Monsieur Eric C. »



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Ci-dessus : En haut, dessin du témoin montrant le triangle qu’il assimile à un TR-3B Astra (illustration en bas). Les ressemblances entre les deux engins sont en effet frappantes, mais elles n’ont de valeur que si l’on accepte l’existence réelle du TR-3B Astra. Pour le moment, ce projet hypothétique n’a d’existence que virtuelle, si je puis dire, sur les sites ufologiques.



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Ci-dessus : deux captures d’écran sur Google Earth montrant l’axe d’observation entre le témoin et l’ovni triangulaire. Dans son récit le témoin précise : « Je rectifie l’angle de vision du premier message, l’engin était plus dans l’axe Savenay - La Chapelle Launay-Campbon. ». Dans le document du bas, la flèche jaune indique l’axe La Mainguais (en bas à droite) - Savenay (au centre) - La Chapelle Launay-Campbon (en haut à gauche). La distance entre  La Mainguais (arrêt du véhicule) et La Chapelle Launay-Campbon est de 6 km environ. Le triangle devait donc se trouver sur cet axe entre La Chapelle Launay-Campbon et La Louitais au maximum (10 km), comme l’indique le témoin : « Je pense qu’il était à environ 250 mètres d’altitude, et en y réfléchissant, suite à notre discussion téléphonique, entre 5 et 10 km de distance. »



Le TR-3B Astra et sa technologie hybride.

Selon les partisans de l’existence réelle du TR-3B Astra, ce dernier serait un avion secret américain développé à partir de la récupération d’épaves d’ovnis de forme triangulaire. Nous voyons tout de suite que nous effectuons un véritable « saut technologique » avec cet engin. C'est ce que nous pourrions appeler une technologie disruptive, ou technologie de rupture, c'est-à-dire une technologie qui est radicalement différente de tout ce qui existe au moment où elle apparaît. 

Si l'on en croit les « sources » disponibles sur Internet, cet engin extraordinaire serait le fruit de la rétro-ingénierie, ou ingénierie inverse, qui consiste à essayer de comprendre la technologie extraterrestre pour tenter de l’utiliser à notre profit (surtout au profit des militaires).

Selon certains « spécialistes » des « projets noirs » américains, le TR-3B Astra utiliserait la fission ou la fusion nucléaire comme source d’énergie. Il pourrait atteindre Mach 9 et voler à 33 km d’altitude. Avec le projet TR-3B Astra nous aurions donc un lien entre technologies terrestres et technologies extraterrestres. Ce serait une sorte de véhicule hybride, mi-humain, mi-extraterrestre.

Deux possibilités s’offrent à nous vis-à-vis de ce projet digne d’un film de science fiction. Si le TR-3B Astra, ou un modèle semblable, existe, cela signifie que sa conception aurait été largement inspirée d’engins triangulaires extraterrestres échoués sur notre planète, et donc que les ovnis triangulaires extraterrestres sont bien réels. Si le TR-3B Astra est une pure fiction, les observations d’ovnis triangulaires s’expliquent alors uniquement par la présence de vaisseaux extraterrestres ayant une forme triangulaire. 

Si l’on en croit certains sites Internet qui parlent de cet engin, le premier vol du TR-3B Astra qui serait un avion de reconnaissance tactique, eut lieu au début des années 90. Le revêtement extérieur du TR-3B réagirait à la stimulation électrique et pourrait changer de couleur et de réflexion. Il absorberait les ondes radar. Le TR-3B serait une plate-forme de reconnaissance avec un temps de vol illimité. Il serait illimité parce qu’il utiliserait un réacteur nucléaire comme source d’énergie. Au centre du triangle il y aurait un habitacle circulaire pour l’équipage (quatre hommes), et tout autour, un accélérateur de particules à plasma : le MFD (Magnetic Field Disrupter). Ce système serait en avance sur toutes les technologies connues sur notre planète. Il serait capable d’annuler les effets de la gravitation. Les trois côtés du fuselage triangulaire du TR-3B auraient une longueur de 34 mètres. L’épaisseur maximum du fuselage serait de 6 mètres (train d’atterrissage rentré). Un poste de pilotage cylindrique de huit mètres de diamètre dépasserait légèrement du sommet du fuselage. Le poids de l’engin serait d’environ 150 tonnes. La structure et le fuselage seraient faits principalement de titane, et de quelques éléments pouvant être en composite de carbure de silicium.

Pour les lecteurs que les prouesses technologiques du TR-3B Astra intéresseraient, je leur recommande le site : LE TR-3B Astra le projet secret américain 


TR-3B Astra ou vaisseau extraterrestre ?

La question est importante et mérite que nous nous y attardions. Certains ufologues avec lesquels j’ai abordé cette question pensent que les ovnis triangulaires sont d’origine humaine et sont sûrement des avions secrets américains. Cette hypothèse a notamment été avancée pour expliquer les manifestations de triangles lors de la « Vague Belge » (1989-1991). Entre fin novembre 1989 et juin 1991, plusieurs centaines, voire même plusieurs milliers d’habitants de la Belgique (y compris des gendarmes et des militaires) furent les témoins de phénomènes aériens inexpliqués. On observa durant cette période, pratiquement chaque jour, de nombreux  ovnis de formes triangulaires souvent de dimensions imposantes. Ces manifestations se déroulèrent dans tout le sud de la Belgique mais davantage encore dans la province de Liège.

Voici l'opinion formulée sur le site Internet Morphéus à propos de la « Vague Belge » : « Nous maintenons l’hypothèse que la vague d’ovnis en Belgique fut un test grandeur nature de toutes nouvelles technologies anti-G : les Astra TR3b. Il s’agissait de jauger les réactions de l’armée belge et des populations. Furent mises en place également des procédures de désinformation programmées et bien rodées. Le F117 fut sorti de l’ombre à cet effet. Le seul petit problème dans l’histoire fut l’intervention médiatique non prévue du physicien Jean Pierre Petit qui fit la démonstration qu’il ne pouvait en rien s’agir de F117, engin bruyant ne pouvant voler au dessous de 300 km/h. Or, tous les témoignages parlent d’engins lents et silencieux au dessus de la Belgique…» Plus il est précisé que : « Selon nos hypothèses, ce test au-dessus des populations belges et françaises s’inscrit dans un programme mondialiste plus large, probablement visant à simuler une invasion extraterrestre. Ce serait en quelque sorte un 11 septembre à l’échelle planétaire, marquant la prise de pouvoir planétaire par un Nouvel Ordre. »

Lien vers le site Morphéus :
La Vague Belge et le nouvel ordre mondial 

Il va sans dire que je ne partage pas du tout l'avis de Morphéus sur l'origine des triangles de la « Vague Belge ».



  
Ci-dessus : dessin de l’ovni triangulaire observé de très près par les gendarmes von Montigny et Nicoll lors de la « Vague Belge ». Cette observation spectaculaire s’est déroulée à Eupen le 29 novembre 1989. Ce jour-là, à 17 heures 20, les gendarmes Heinrich Nicoll et Hubert von Montigny, alors en patrouille dans les environs de la ville d’Eupen (région wallonne), observèrent soudain, juste au-dessus d’un champ proche, un objet triangulaire dont la taille fut évaluée à environ 30 mètres. Il était immobile et totalement silencieux. Ses feux, qui projetaient une intense lumière, illuminaient la campagne environnante. Elle est considérée comme marquant le commencement des événements de la « Vague Belge ».  



La « Vague Belge » est généralement considérée comme la plus importante d’Europe par les ufologues. La Société Belge d’Etude des Phénomènes Spatiaux (SOBEPS) qui a fait un travail remarquable dans cette affaire, affirme avoir collecté plus de 2000 témoignages durant la période allant d’octobre 1989 à mars 1991. Le nombre d’observations supposées est sûrement plus important car il est possible qu’il y ait des témoins qui n’ont pas pris la peine de signaler ce qu’il avaient vu à la SOBEPS ou aux autorités.

Voici les principales caractéristiques des ovnis observés lors de la « Vague Belge » :

- Engins volant de forme triangulaire (environ 50 mètres de coté).
- Trois grands phares d’environ un mètre de diamètre à proximité des angles du triangle.
- Une lumière orange ou rouge en rotation semblable à un gyrophare, au centre de la forme triangulaire. Lumière pulsante.
- D’autres formes ont été aussi décrites, dont des rectangles ou des losanges de très grandes dimensions.
- Déplacement lent, moins de 40 km/h.
- Déplacement à très basse altitude : moins de 20 mètres dans certains cas.
- Pas de bruit ou alors un très léger bourdonnement.
- Aucun déplacement d’air ressenti par les témoins.
- Pas de phénomènes électromagnétiques notés.
- Quelques rares témoignages font état d’accélérations fulgurantes.
- Parfois les triangles se mettent en position verticale.
- Quelquefois, disparition brutale de l’engin triangulaire, de manière évanescente.

La « Vague Belge » est exceptionnelle tant par le nombre d’observations, que par la durée de cette vague (près de dix-huit mois). Elle s’est manifestée au-dessus d’un pays qui est le plus densément peuplé d’Europe. La vague proprement dite (qui a officiellement commencé le 29 novembre 1989 à Eupen) a été précédée par une période préliminaire d’observations qui a duré deux mois, avec un taux moyen de 0,4 observations par jour. Brusquement, le 29 novembre 1989, il y eut en quelques heures seulement et dans une région limitée, près de 150 observations indépendantes. La Belgique était donc confrontée à une vague exceptionnelle, bien que toute son ampleur ne pouvait pas encore être évaluée à ce moment-là. Les observations se poursuivirent après cette date (le 29 /11/89), pendant des jours et des semaines. Celles-ci sont estimées au taux moyen de 6,4 par jour, pendant quatre semaines. Ensuite, le taux moyen est tombé à 1,5 par jour pendant quatre mois et puis à environ 1 par jour pendant toute une année. Cette vague sans précédent doit être rapprochée de la « vague du 5 novembre 1990 », qui est comme son prolongement en France.

































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Une étude exceptionnelle