------------------------- S I T E O F F I C I E L -------------------------
Classification générale
et
description des ovnis triangulaires
Extraits de mon livre.
Les 5 grandes
catégories d’ovnis triangulaires.
Je propose dans mon livre une
classification des ovnis ayant une
forme générale triangulaire qui est basée sur les critères objectifs
suivants :
forme générale triangulaire qui est basée sur les critères objectifs
suivants :
.1) La forme générale de
l’engin.
.2) Le nombre et la couleur
des feux (lumières, éclairages
divers).
.3) La façon dont le
triangle apparaît aux témoins.
La classification que je propose comporte 5
grandes catégories, ou
types principaux, de triangles volants non-identifiés.
Elle est simple, et elle est uniquement construire à partir des rapports
d’observations.
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Catégorie 1 :
Les « triangles
noirs » à trois feux.
(« Type TN3F »)
Je regroupe dans cette catégorie toutes les
observations qui mentionnent des « triangles noirs » avec trois feux
à chaque angle. Ces feux sont de taille variable. Souvent silencieux et de
grande dimension, ces structures triangulaires qui paraissent n’avoir que deux
dimensions (comme si la masse porteuse était plate), survolent les centres
urbains très peuplés, les sites nucléaires civils et militaires. Dans certains
cas, ces engins interférent avec la conscience des témoins (messages
« télépathiques »).
Catégorie 2 :
Les « triangles noirs » sans feux.
Les « triangles noirs » sans feux.
(« Type TNSF »)
Je regroupe dans cette catégorie les
observations qui mentionnent des structures triangulaires entièrement noires,
sans aucun feu. Comme dans la catégorie 1, ces engins sont silencieux et de
grande dimension. Ils paraissent n’avoir que deux dimensions comme si la masse
porteuse était plate. J’inclue dans cette catégorie les triangles avec un seul
feu placé au centre ou dans un angle de la masse porteuse. Ce feu unique peut
être de couleur et de dimension variable.
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Catégorie 3 :
Les triangles à quatre
feux.
(« Type T4F »)
Je regroupe dans cette catégorie les
observations qui mentionnent des triangles à trois feux avec un quatrième feu
généralement placé au centre de l’engin. Dans de nombreux cas, ce quatrième feu
est d’une couleur, d’une dimension, et d’une forme différente des trois autres.
Dans cette catégorie, la masse porteuse des engins triangulaires n’est pas
toujours sombre ou totalement noire. Elle peut être grise et d’aspect
métallique. La masse porteuse n’apparaît pas non plus totalement plate (en deux
dimensions). Elle peut avoir une certaine épaisseur. La surface externe de ces
engins peut présenter divers motifs et reliefs parfois très complexes.
Catégorie 4 :
Les triangles à feux
multiples.
(« Type TFM »)
Je regroupe dans cette catégorie les
observations qui mentionnent des triangles avec plus de quatre feux. Ces autres
feux peuvent être de couleur, de dimension et de forme très variables. Ces
triangles peuvent avoir une masse porteuse sombre, grise, ou colorée. Comme
pour la catégorie 3, la masse porteuse n’apparaît pas non plus totalement plate
(en deux dimensions). Elle peut avoir une certaine épaisseur. La surface externe
de ces engins peut parfois présenter divers motifs et reliefs parfois très
complexes.
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Catégorie 5 :
Les triangles sans masse
apparente avec plusieurs feux.
(« Type TSMPF »)
Je regroupe dans cette catégorie les
observations qui mentionnent des feux (trois ou plus) qui ne semblent pas
reliés entre eux par une masse porteuse visible. Le fait de ne percevoir aucune
masse ne signifie pas que cette masse n’existe pas. Ce ne serait qu’une
impression visuelle induite par les propriétés de furtivité de l’engin. Les
feux visibles de l’engin peuvent être de couleur, de dimension et de forme très
variables.
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M. Gildas Bourdais, dans son livre intitulé, Ovnis : la levée progressive du secret, publié en 2001 (Editions JMG), et réédité sous le titre Ovnis, Vers la fin du secret ? (Editions Le Temps Présent, 2010), signale de façon pertinente les points communs entre les apparitions aériennes de triangles volants non-identifiés : « observations souvent nocturnes ou à la tombée de la nuit, silhouettes sombres de grandes dimensions, en forme de triangle, boomerang, « V », ou losange, nombreuses lumières sur les bords, projecteurs puissants orientés vers le sol, vol très lent à basse altitude, silencieux ou avec un léger bourdonnement, accélérations fulgurantes ».
Je pourrais aussi ajouter à cette description
succincte que les triangles volants non-identifiés n’atterrissent pratiquement
jamais, sauf dans de très rares cas qui sont mal documentés. Qu’ils ne sont
jamais observés en présence d’entités non-humaines, sauf dans de très rares
cas. Qu’ils peuvent interférer avec la conscience des témoins en leur envoyant
un ou des messages que je qualifie de « télépathiques » et qui sont
souvent positifs avec des mises en garde de type écologique. La présence de ces
engins semble modifier l’environnement physique (temps et espace) immédiat du
témoin (« facteur Oz »).
Ma classification en 5 catégories vient en
quelque sorte affinée et détailler les remarques précédentes de M. Bourdais en
indiquant les différences qui semblent exister entre plusieurs types d’engins.
Elle peut théoriquement s’intégrer dans une base de données informatisée. Dans
cette base, les 5 catégories pourraient apparaître sous la forme d’un menu
déroulant et le gestionnaire de la base sélectionnerait sur ce menu la
catégorie qui correspond à l’observation. Lors de recherches ultérieures, sous
forme de requêtes par exemple, le gestionnaire aurait alors la possibilité de
connaître immédiatement quelle catégorie de triangles volants non-identifiés
apparaît le plus souvent dans telle zone géographique ou à telle période de
temps (année, mois, heure).
Cette classification permet aussi de dresser
une sorte de « galerie de portraits » des triangles volants non-identifiés.
Elle implique une analyse des performances, caractéristiques, et propriétés de
ces engins. Elle peut aider à mieux apprécier leur niveau technologique. Je ne
dis pas qu’une simple classification est un moyen qui permet de mieux
comprendre comment fonctionnent ces engins, je dis seulement qu’elle permet de
nous faire une idée approximative de l’écart technologique entre ces engins et
ceux que l’homme est capable de fabriquer au XXIe siècle. Ce n’est pas parce que nous pouvons
classer les différents types de véhicules militaires d’une puissance étrangère
par exemple (avions, bateaux, missiles, etc.), que nous comprenons la
technologie sous-jacente qui permet de fabriquer ces véhicules. Nous pouvons
seulement mesurer l’écart technologique entre nous et cette puissance étrangère
en listant les performances observées des divers véhicules. C’est la même chose
avec les ovnis triangulaires : en les classant selon leurs
caractéristiques, nous prenons conscience de l’écart technologique qui nous
séparent d’eux.
Daniel Robin
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