Révélations ovnis

 

 

-------------------------    S I T E    O F F I C I E L    -------------------------   






« R et D - UAP* »

Recherches et Développements UAP

Révélations et Divulgations sur le phénomène ovni

* UAP : phénomènes aériens non-identifiés 

 

 

Le 4 juillet 1947, un engin d’origine non-humaine s’écrase dans une zone située au Nord-Ouest de la ville de Roswell au Nouveau Mexique. Nous pouvons dire qu’il y aura « un avant » et « un après » Roswell concernant la divulgation d’informations sur les ovnis.

 

En effet, Après avoir affirmé publiquement, le 8 juillet 1947, que l’armée américaine avait récupéré un « disque volant », cette dernière se rétracte quelques jours plus tard lors d’une conférence de presse et prétend que ce n’était qu’un ballon-sonde.

 

Après le 8 juillet 1947, le dossier ovni devient hautement classifié et l’armée américaine restera « muette » sur ce sujet jusqu’au fameux 16 décembre 2017, date de publication d’un article sensationnel dans Le New York Times. L’article du New York Times révèle en effet l’existence d’un « mystérieux programme ovni au Pentagone » appelé l’AATIP, anagramme d’Advanced Aerospace Threat Identification Program (Programme Avancé d’Identification des Menaces Aériennes).

 

Après 70 années de silence, de « chape de plomb », et de mensonges sur tout ce qui concernait les ovnis, de nombreuses campagnes de calomnies et de dénigrements vis-à-vis de ceux qui en toute bonne foi rapportaient leurs observations d’engins inconnus, et même de pressions sur les témoins gênants (pouvant aller jusqu'à l'assassinat de ces derniers), les services de renseignement et l’armée américaine prétendent aujourd’hui vouloir communiquer publiquement sur le sujet ovni. Se présentant comme de bons patriotes, les « agents » de la « révélation » affichent une figure innocente et bienveillante et se disent soudains préoccupés par l'éventuelle menace que représenteraient les ovnis.  

 

Un tel revirement demande des explications.

 

Il relève en effet d’un mécanisme psychologique étrange et de motivations qui ne sont pas clairement exprimées. Une légitime méfiance est de mise selon moi. Je me pose la question : ne serions-nous pas en présence d'une forme d'ingénierie sociale, c'est-à-dire d'une manipulation des représentations mentales des populations pour obtenir un certain résultat ?

 

Dans cette nouvelle série d’articles consacrés à la « révélation », nous nous interrogerons sur les réelles motivations de ceux qui orchestrent au niveau planétaire cette compagne d’information sur les ovnis. J’ai en effet l’impression que les vraies raisons de cette vaste campagne de divulgation sont obscures et que « quelque chose » d’important se prépare.

 

En tout cas, je crois que ce qui est « révélé » ne représente qu’une toute petite partie de ce que savent les services de renseignement et l’armée.

 


 

 

Sommaire :

 

-4) Pourquoi « ceux qui savent » veulent-ils communiquer ?

-3) Philip J. Corso est-il le « père » de la Révélation ?

-2) La réunion publique de la Nasa.

-1) OVNIS : ILS SAVENT ! Les Trois degrés d’implication.

 

 

 

4) Pourquoi « ceux qui savent » veulent-ils communiquer ?

 

 

 

En examinant attentivement l’enchaînement des événements depuis les « révélations » du New York Times et de Politico le 16 décembre 2017, j’ai soudain songé qu’il y avait une sorte d’incohérence entre cette volonté apparente de communiquer en direction du public et le fait que ceux qui étaient à l’origine de cette communication possédaient déjà toutes les informations et tous les éléments nécessaires pour comprendre la technologie des ovnis.

 

 

Lors d’une interview pour le Sunday Times, Luis Elizondo a en effet révélé que l’entreprise Bigelow Aerospace avait stocké dans ses entrepôts de Las Vegas des débris d’ovnis accidentés. De son côté, le producteur et conférencier, Nicolas Augusto, pense que : « Tout indique que, début juillet 1947, un objet qui provenait d’ailleurs s’est vraiment écrasé au Nouveau-Mexique » et que les scientifiques américains auraient compris comment fonctionnait cet « objet » (un « disque volant ») et qu’ils auraient même procédé à des applications concrètes à partir de cette technologie. C’est ce qu’on appelle la rétro-ingénierie ou ingénierie inversée. Enfin, le Dr Hal Puthoff avoue que « lors du crash d’un véhicule à la technologie avancée », les scientifiques et militaires américains ont récupéré des matériaux aux propriétés étranges et qu’ils sont parvenus à mettre en évidence leurs caractéristiques et leurs fonctions.

 

 

Dans ces conditions, pourquoi cette « mise en scène » étrange orchestrée autour de l’organisation To the Stars Academy of Arts and Science (TTSA) qui a été créée en 2015 par Tom Delonge ? Si l’armée et les services de renseignement ont déjà compris (en partie peut-être) comment fonctionnent les ovnis et qu’ils maîtrisent (en partie peut-être) cette technologie alien, nous ne comprenons pas très bien les raisons qui motivent une vaste campagne de communication en direction d’un public aussi large que possible. Sachant par ailleurs que toutes ces recherches sur les ovnis sont classées « ultra top secret », ou « Majic », qui est le plus haut niveau de classification aux Etats-Unis. Notons aussi que la « démission » d’Elizondo ferait sans doute partie intégrante de cette « mise en scène » et du plan de communication.

 

 

 

 

Ci-dessus : « To the Stars... Academy of Arts & Sciences » (généralement raccourci par « To the Stars » ou l’acronyme « TTSA ») est une entreprise cofondée par Tom Delonge (à gauche sur le document ci-dessus), guitariste du groupe Blink-182, le physicien et parapsychologue Harold E. Puthoff, et Jim Semivan, un ancien agent de renseignement de la CIA. L’entreprise est un savant et étrange mélange de disciplines comme l’aérospatiale, l’ingénierie, la recherche scientifique, le divertissement et le  " business ". Au centre du document, Christopher Karl Mellon, ancien sous-secrétaire adjoint à la Défense pour le renseignement dans les administrations des présidents Clinton et George W. Bush, a été actionnaire et conseiller de « TTSA ». Luis Elizondo (à droite) ancien employé du Bureau du Sous-secrétaire à la Défense pour le Renseignement, ancien agent spécial du contre-espionnage de l’armée américaine, a rejoint l’organisation « TTSA » en 2017.

 

 

Si les « révélations sensationnelles » du New York Times (La journaliste à l’origine de l’article du Times est une ancienne conseillère de la Maison-Blanche) et de Politico ont reçu préalablement l’aval des services de renseignement et de l’armée, et que To the Stars Academy n’est qu’un instrument parfaitement contrôlé entre les mains de ces services et de cette cette armée (Selon l’ufologue Fabrice Bonvin, To the Stars Academy ne serait en définitive qu’un « sous produit du complexe militaro-industriel américain » qui s’en servirait comme relais d’information auprès du public, sur ce point, voir le magazine NEXUS n°124), cela signifie que nous ne sommes pas en présence d’une authentique « révélation » mais d’une manipulation des opinions publiques savamment orchestrée. Il semble en effet logique de penser que le public n’a eu droit qu’à quelques « miettes » (trois vidéos et quelques interviews de pilotes et d’hommes politiques) d’informations concernant l’implication des services de renseignement et de l’armée vis-à-vis des ovnis. Par ailleurs, il est certain qu’il existe d’autres vidéos et des enregistrements (radars, visuels, etc.) qui sont beaucoup plus nets et plus précis que les trois documents qui sont aujourd’hui mondialement connus.

 


Ci-dessus : Concept de véhicule électromagnétique avancé proposé par l’équipe de chercheurs de « To The Stars Academy of Arts & Science ». Parmi les projets prévus par la société figure un véhicule électromagnétique très avancé que le directeur de la division aérospatiale de « TTSA » (et ancien directeur de programme pour les systèmes avancés chez Lockheed Martin’s Skunk Works), Steve Justice, décrit comme « un concept d’engin de transport international qui pourrait réduire les limites actuelles de distance et de temps. Il imiterait aussi les capacités observées dans les Unidentified Aerial Phenomenon (UAP) en utilisant un système de propulsion qui modifie la métrique de l’espace-temps.

 

De toute évidence, cette vaste campagne de « révélations » sur les ovnis orchestrée par des structures officielles américaines (Pentagone, Nasa, etc.) n’est pas née de quelques initiatives personnelles spontanées. Il s’agit au contraire d’une action préparée de longue date par des professionnels de la communication, bien encadrée et savamment élaborée par des individus issus du renseignement et de l’armée. Ce qui devrait d’ailleurs nous inciter à la prudence car nous savons ce que valent en définitive les informations provenant des agences de renseignement.

 

Les questions que nous sommes en droit de nous poser sont donc celles-ci : que signifie ce soudain revirement, sommes-nous encore les « cobayes » d’une nouvelle campagne de désinformation destinée à tester nos réactions, serait-ce une sorte d’expérience sociologique à grande échelle ?

 

Un observateur extérieur pourrait croire que les mentalités ont brusquement changées aux Etats-Unis, comme s’il s’était passé « quelque chose » d’important dans la coulisse en rapport avec les ovnis, et que cette « chose » importante avait changé la donne en quelque sorte.

 


 

Ci-dessus : Débris sensé provenir de l’épave d’un ovni. Le 26 juillet 2018, « TTSA » a annoncé son partenariat avec la société « EarthTech International » qui représente un groupe de recherche basé à Austin au Texas et qui s’est fixé comme objectif d’évaluer les propriétés des matériaux (méta-matériaux) provenant d’ovnis. Le groupe de recherche est placé sous la direction du Dr Harold E. Puthoff, ancien conseiller et sous-traitant du programme « AATIP » (Advanced Aerospace Threat Identification Program) au sein du Pentagone. La société « EarthTech International » a créé le « Projet de recherche ADAM » (ADAM, acronyme de Acquisition and Data Analysis of Materials) qui est présenté comme étant un programme de recherche universitaire axé sur l’exploitation de matériaux exotiques pour l’innovation technologique.


 

D’un seul coup, sans que nous sachions réellement pourquoi, les ovnis sont devenus un sujet sérieux qui mérite désormais l’attention de tous (militaires, politiques, scientifiques, citoyens ordinaires, etc.). S’agit-il de la première phase d’un plan plus vaste destiné à sensibiliser graduellement les populations à une présence extraterrestre sur notre planète ? Les « révélations » vont-elles devenir de plus en plus rapprochées et importantes ?

 

Comme le dit fort justement Luis Elizondo dans l’une de ses conférences (et il est bien placé pour le savoir), la « révélation » n’est pas un événement ponctuel unique, mais c’est au contraire un processus qui s’étale dans le temps et qui comporte plusieurs étapes. Nous ne saurions mieux dire.

 

Certes, la « révélation » est en marche, mais n’est-elle pas que la partie visible et médiatique d’une action beaucoup plus profonde et non-révélée ? Pourquoi Maintenant ? Qu’est-ce qui à changé dans l’univers clos de ceux qui sont dans le secret ?

 

Daniel Robin (juin 2023)

 

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Ci-dessus : Le lieutenant-colonel Philip James Corso (1915-1998)

 

3) Philip J. Corso, est-il le « père » de la Révélation ?

 

Il semblerait que les médias « s’emballent » depuis que Le New York Times du 16 décembre 2017, a révélé au monde entier l’existence de « programmes noirs » américains (« programme d’accès spéciaux » ou SAP, hautement classifiés) financés par l’argent publique et destinés à l’étude des ovnis, depuis la publication par le même journal de trois vidéos de mauvaise qualité montrant d’étranges engins, et depuis la publication de témoignages de pilotes chevronnés de l’USAF qui ont vu des ovnis.

 

Plus intéressantes, sont les déclarations récentes du colonel David Charles Grusch, dans lesquelles il affirment que les Etats-Unis financent depuis des dizaines d’années des programmes secrets de récupération d’ovnis, que l’armée américains serait même en possession de plusieurs épaves d’engins d’origine extraterrestre et qu’elle chercherait à comprendre le fonctionnement de ces vaisseaux.

 

Ci-dessus : Le colonel David Charles Grusch. Dans des interviews accordées à différents médias au début du mois de juin 2023, David Grusch, lanceur d’alerte et ancien membre des services de renseignement américain, affirme que les Etats-Unis financent depuis des dizaines d’années des programmes secrets de récupération d’ovnis, que l’armée américains serait même en possession de plusieurs épaves d’engins d’origine extraterrestre et qu’elle chercherait à comprendre le fonctionnement de ces étranges vaisseaux venus de l’espace. Il dit aussi avoir livré au Congrès américain des informations classifiées qui ont été dissimulées illégalement aux élus de son pays. Toujours selon l’ex-militaire qui a servi au sein des forces armées américaines en Afghanistan, les Etats-Unis sont en possession d’appareils « intacts et partiellement intacts » grâce à des récupérations effectuées depuis plusieurs décennies dans différentes parties du monde. Selon notre informateur, « Il s’agit d’éléments non humains, c’est-à-dire d’origine inconnue ou extraterrestre, d’après leur forme et leurs caractéristiques uniques, comme d’après leur signature radar ». Dans une interview accordée le 7 juin 2023 au journal Le Parisien, David Grusch, qui a travaillé pour l’Agence nationale de renseignement géospatiale (NGA) et plus spécialement au sein de l’équipe chargée d’enquêter sur les ovnis de 2019 à 2021, précise en outre que « Cela peut être extraterrestre ou ça peut être autre chose, venant d’autres dimensions telles que décrites par la mécanique quantique ». Notons aussi que l’ancien membre des services de renseignement américain est un ami proche de Luis Elizondo qui a salué sur le réseau social Twitter, son courage pour ses révélations sensationnelles : « A Dave, mon ami et ancien collègue, merci pour ton courage et ton honnêteté ».


 

Ci-dessus : Le 4 juillet 1947, un engin en forme d’aile volante s’écrase dans une zone située au Nord-Ouest de la ville de Roswell au Nouveau Mexique. Il y aura « un avant » et « un après » Roswell concernant la divulgation d’informations sur les ovnis. Après avoir affirmé publiquement, le 8 juillet 1947, que l’armée américaine avait récupéré un « disque volant », elle se rétracte quelques jours plus tard lors d’une conférence de presse et prétend que ce n’était qu’un ballon-sonde. A partir de ce jour, le dossier ovni est hautement classifié et l’armée américaine restera « muette » sur ce sujet jusqu’en décembre 2017.


Aujourd’hui, malgré l’engouement des médias pour ce genre de déclarations, si l’ont fait un petit retour en arrière dans le temps, force est de constater que ces informations ne sont pas si sensationnelles qu’on veut bien nous le faire croire.

 

Pour s’en convaincre, il suffit de lire le livre du lieutenant-colonel Philip James Corso (1915-1998) intitulé « The Day After Roswell », ouvrage qui à fait l’objet d’une traduction française : « Au lendemain de Roswell, contact extraterrestre » (Éditions Ariane, 2017). Un livre fascinant qui aurait dû faire l’effet d’une bombe en son temps et qui a créé quelques désagréments à son auteur. Les dernières divulgations de la presse et des médias américains paraissent bien « pâles » si nous les comparons aux « révélations » faites dans ce livre.

 

 

Ci-dessus : Le livre du lieutenant-colonel Philip James Corso (1915-1998) intitulé « The Day After Roswell », ouvrage qui à fait l’objet d’une traduction française : « Au lendemain de Roswell, contact extraterrestre » aux Éditions Ariane, 2017.

 

 

Parmi de nombreuses autres informations étonnante, le lieutenant-colonel Corso affirme que des éléments matériels trouvés à l’intérieur de l’épave d’un engin récupéré à Roswell auraient permis des avancées technologiques fulgurantes après 1947. Selon lui, il y aurait eu d’importants transferts de technologies issus de l’étude approfondie de cet engin en direction de grandes firmes américaines : les laboratoires Bell, Motorola, IBM, IINTEL, entre autres.

 

Il prétend que « les intensificateurs d’images, qui deviendront plus tard la vision de nuit, la fibre optique, les fibres super-résistantes, les lasers, les alliages métalliques avec alignement moléculaire, les circuits intégrés (microporcesseurs) et la miniaturisation des circuits logiques, le projet HARP (High Altitude Research Project), le Projet Horizon (projet de bases lunaires), la pile atomique portable (énergie à propulsion ionique), les nourritures irradiées, les systèmes de guidage par la pensée, les faisceaux à particules (projet « Guerre des Étoiles »), les systèmes de propulsions électromagnétiques, et les projectiles d’uranium appauvri » (utilisés en Ukraine de nos jours), sont des retombées technologies du crash de Roswell.

 


Ci-dessus : Parmi de nombreuses autres informations étonnantes que le lieutenant-colonel Corso révèlent dans son livre « The Day After Roswell », il prétend que la fibre optique que nous utilisons aujourd’hui couramment pour véhiculer l’information serait une retombée technologique de fibres optiques retrouvées dans une épave d’ovni. Tout cela semble cohérent puisque le développement de la fibre optique est étroitement lié au développement de l’informatique et donc des microprocesseurs. Tout ces éléments font partie du même environnement numérique.

 

 

Notons, et c’est un point très important, qu’en essayant de comprendre comment fonctionnait l’engin récupéré à Roswell (et d’autres engins récupérés ailleurs sans doute) les Etats-Unis cherchaient avant tout à fabriquer de nouvelles armes, plus sophistiquées, qui assureraient leur domination sur tous leurs adversaires. Depuis la fin de Seconde Guerre mondiale (1939-1945) le pouvoir réel à toujours été aux mains du puissant complexe militaro-industriel, puis du complexe militaro-numérique, tout deux intimement liés à la communauté du renseignement américain (DIA, NSA, CIA, NRO, etc.).

 

Dans le domaine de l’informatique, Philip J. Corso soutient l’idée que l’invention du circuit intégré n’aurait pas pu être faite aussi rapidement si un engin extraterrestre ne s’était pas écrasé à Roswell. Il raconte comment « une plaque (silicium) de semi-conducteurs carbonisée qui s’était cassée en plusieurs morceaux », et qui avait été récupérée dans l’épave de l’ovni, aurait inspiré les travaux sur une nouvelle génération de transistors. 

 

Selon Corso, l’intérieur de l’épave de l’ovni était tapissé de ces semi-conducteurs, comme si tout le vaisseau était un ordinateur, une sorte de machine intelligente (une IA). Il révèle que le Général Trudeau, chef de la section Recherches & Développements de l’armée américaine, aurait fourni, dès 1947, des échantillons récupérés sur le vaisseau à Bell Labs et à Motorola, et qu’à partir de ces débris, les deux sociétés auraient rapidement (c’est-à-dire, selon Corso, dans les mois qui suivirent le crash de Roswell) fabriqué des circuits intégrés révolutionnaires dont sont équipés nos modernes ordinateurs. 

 

 

Ci-dessus : Le microprocesseur est le cœur des ordinateurs qui permet d’effectuer des calculs complexes, de stocker des informations, de gérer et de transmettre des instructions. La puissance des ordinateurs dépend de la taille des registres du microprocesseur, qui s’exprime en nombre de bits. Les premiers fonctionnaient en 8 bits. Aujourd’hui, les microprocesseurs savent traiter l'information sur 16, 24, 32, 64 et même 128 bits. Le lieutenant-colonel Philip James Corso soutient l’idée que l’invention du circuit intégré n’aurait pas pu être faite aussi rapidement si un engin extraterrestre ne s’était pas écrasé à Roswell. Il révèle que le Général Trudeau, chef de la section Recherches & Développements de l’armée américaine, aurait fourni, dès 1947, des échantillons récupérés sur une épave d’ovni à Bell Labs et à Motorola, et qu’à partir de ces débris, les deux sociétés auraient rapidement (c’est-à-dire, selon Corso, dans les mois qui suivirent le crash de Roswell) fabriqué des circuits intégrés révolutionnaires dont sont équipés nos ordinateurs.

 

Aussi étrange et extraordinaire que cela paraisse, en 2023, tout notre environnement numérique (PC, portables, tablettes, et même ChatGPT, etc.) serait peut-être issu de la rétro-ingénierie faite à partir d’une épave d’« aile volante », et non pas d’une soucoupe volante, récupérée dans un désert américain en juillet 1947. Cela soulève toute même quelques questions sur le sens qu’il faut donner à cette « numérisation à outrance » de notre société.

 

Ces révélations sont d’autant plus impressionnantes qu’elles proviennent d’un officier de l’armée américaine qui a participé de 1953 à 1957 au Conseil de Sécurité National du président Eisenhower et qui était directeur du bureau de technologie étrangère du Pentagone dans la recherche et le développement militaires. Il fréquentait les plus hautes instances du pouvoir à cette époque.

 

Alors le lieutenant-colonel Philip J. Corso serait-il le « père » de la Révélation ?

 

En tout cas, il est aujourd’hui évident que certains groupes humains (ce que j’appelle des « cellules spéciales ») au sein du gouvernement et de l’armée américaine en savent beaucoup plus que les « révélations » dont les médias nous abreuvent ces derniers temps.

 

Certes, la « Révélation » semble en marche, mais n’est-elle pas que la partie visible et médiatique d’une action plus profonde qui elle serait " non-révélée " ? 

Pourquoi Maintenant ? 

Qu’est-ce qui à changé dans l’univers clos de ceux qui sont dans le secret ?

 

Daniel Robin (mai 2023)

 

 

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Ci-dessus : Le mercredi 31 mai 2023, la Nasa tient sa première réunion publique sur le sujet ovnis. Officiellement, le but de cette réunion était de familiariser le public avec cette thématique, souvent considérée comme étant l’apanage des « complotistes » (sous-entendu : les ufologues sont des complotistes). « Il existe une stigmatisation parmi les personnes signalant des observations de PAN », déplore David Spergel, président de l’équipe de la Nasa qui étudie ces phénomènes, cité par la BBC. « L’un de nos objectifs est d’éliminer la stigmatisation », affirme-t-il, « car il y a un besoin de données de haute qualité pour répondre à des questions importantes sur les PAN ». La question est celle de savoir qui stigmatise qui ?

 


2) La réunion publique de la Nasa. 

La « révélation » à l’échelle planétaire de l’existence des ovnis est-elle en marche ?

 

Le 31 mai 2023, à Washington, pour la première fois dans son histoire, la Nasa a tenu une réunion publique aux allures de congrès consacrée aux ovnis en présence de 16 scientifiques que l’agence spatiale américaine a décrit comme étant « certains des plus grands scientifiques, spécialistes des données et de l’intelligence artificielle et experts en sécurité aérospatiale au monde ». Lors de cette réunion, elle a dévoilé une vidéo montrant un ovni sphérique se déplaçant à faible altitude dans une zone désertique. La vidéo serait en cours d’analyse par la Nasa.

 

Avec cette réunion publique exceptionnelle de la Nasa, il semblerait que la « révélation » concernant les activités des ovnis, leur technologie, et les éventuels contacts entre les aliens et certains groupes humains composés de membres des services de renseignement, de militaires et de quelques politiques, s’accélère.

 

Depuis au moins 2007, des programmes secrets de recherches sur les ovnis ont été financés par le gouvernement américain, et depuis 2012, quelques résultats des travaux de ces programmes ont été révélés au public.

 

Brusquement, aux Etats-Unis, le sujet ovni n’est plus tabou et les initiatives privées d’études de ce phénomène se multiplient.

 

Qu’est-ce que cela signifie ? Les militaires américains sont-ils sur le point de comprendre la technologie à l’œuvre derrière le phénomène ovni ? 

 

 

Ci-dessus : Lors de sa première réunion publique concernant le sujet ovni, le mercredi 31 mai 2023, la Nasa dévoile une vidéo inédite montrant un petit engin sphérique se déplaçant à vive allure filmé au Moyen-Orient. Le sujet est très sérieux, a souligné l’agence spatiale américaine : il concerne à la fois la sécurité nationale et celle du trafic aérien.

 

 

Le 16 décembre 2017, le monde entier apprenait une nouvelle sensationnelle publiée dans Le New York Times et dans le media en ligne Politico (source d’information sur l’actualité de la Maison-Blanche). L’article du New York Times révélait en effet l’existence d’un « mystérieux programme ovni au Pentagone ». On y apprenait aussi qu’un budget 22 millions dollars sur cinq ans, prélevé sur des fonds publics, avait été attribué à l’AATIP, anagramme d’Advanced Aerospace Threat Identification Program (Programme Avancé d’Identification des Menaces Aériennes).

 

Etrange affaire que ce « programme noir » rattaché au Pentagone qui avait été initié par les sénateurs démocrates Harry Reid (Nevada) et Daniel Inouye (Hawaï), ainsi que le sénateur républicain de l’Alaska, Ted Stevens.

 

De secret, le « mystérieux programme ovni au Pentagone » va soudain devenir public, et de nombreux documents déclassifiés grâce au Freedom of Information Act (Loi d’accès à l’information), vont rapidement se propager dans les médias, notamment les fameuses vidéos militaires d’ovnis provenant du Pentagone au nombre de trois (GIMBAL, US Navy FA-18 Super Hornet, NIMITZ, USS Nimitz, côtes de San Diego, et GO FAST, US Navy FA-18 Super Hornet, technologie à infrarouges).

 

 


Ci-dessus : Visuel du documentaire « Aliens at The Pentagon » avec Nick Pope (Réalisation J. Michael Long, 2018). Synopsis : « Pendant des années, le gouvernement américain a nié avoir enquêté sur les ovnis, mais lorsqu’un programme ultra-secret du Pentagone pour étudier la menace extraterrestre a été dévoilé fin 2017, le monde a été stupéfait par cette révélation. Nick Pope alias « The Real Fox Mulder » a enquêté sur les ovnis et autres phénomènes inexpliqués pour le gouvernement britannique. Dans ce documentaire, Nick expose le fonctionnement secret de l’unité X-Files réelle du Pentagone, utilisant ses connaissances et son expérience passée pour raconter l’incroyable histoire comme seul un véritable initié aux secrets du gouvernement américain peut le faire ».


 

Luis Elizondo ainsi que d’ex-membres de l’AATIP, Jim Semivan (un ancien de la CIA), le Dr Hal Puthoff (docteur en physique et fondateur de départements de recherche de la CIA dans les années 1950), Steve Justice (ancien de Lockheed Martin, première entreprise américaine de défense et de sécurité), et Christopher Mellon (Ancien secrétaire adjoint à la défense, directeur du personnel de la commission sénatoriale du renseignement), vont rejoindre une association privée appelée To the Stars Academy of Arts and Science (« TTSA »), qui avait été créée en 2015 par Tom Delonge, fondateur du groupe pop-rock Blink-182. Tom Delonge deviendra le porte-parole et aussi le bailleur de fonds de la « nouvelle équipe » chargée d’organiser une prétendue « révélation » au sujet des ovnis.

 

De toute évidence, cette vaste campagne de « communication, divulgation, révélation » sur les ovnis n’est pas née d’une initiative personnelle spontanée. Il s’agit au contraire d’une action préparée de longue date par des professionnels de la communication, bien encadrée et orchestrée par des individus issus du renseignement et de l’armée. Ce qui devrait d’ailleurs nous inciter à la prudence car nous savons ce que valent les informations provenant des agences de renseignement. Avec cette campagne de « divulgation », il semblerait donc que nous assistions à une réelle rupture dans la politique de communication officielle des Etats-Unis sur la question des ovnis depuis les années quarante.

 

Mais que signifie ce soudain revirement ?

 

Sommes-nous les « cobayes » d’une nouvelle campagne de désinformation destinée à tester nos réactions dans le cadre d’une sorte d’expérience sociologique à grande échelle ? S’agit-il de préparer les populations à une (fausse) invasion extraterrestre ?

 

Sommes-nous en présence d’une authentique « révélation » ou s’agit-il de toute autre chose ?

 

Daniel Robin (mai 2023)

 

 

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1) OVNIS : ILS SAVENT !

Réflexions sur les militaires, les scientifiques et les politiques qui connaissent la vérité au sujet des ovnis.
 

Il est certains que les Etats-Unis, l’ex-URSS, l’actuelle Fédération de Russie (depuis fin 1991), la Chine, quelques pays d’Amérique sud, la France et l’Angleterre, ont toujours cherché à comprendre la technologie mise en œuvre par les ovnis, et cela à des fins strictement militaires. Le but de ces recherches étaient de dominer l’adversaire.

 

C’est la raison pour laquelle les études des militaires sur les ovnis ont toujours étaient classées au plus haut niveau, et même à un niveau supérieur aux armes nucléaires.

 

En effet, l’état qui parviendrait à comprendre, puis à utiliser la technologie mise en œuvre par les ovnis deviendrait quasiment invincible. C’est du moins ce qu’espèrent les militaires des puissances citées plus haut.

 

Cependant, il n’est pas certain que les militaires de ces puissances aient compris la technologie des ovnis. C’est en effet une technologie qui est totalement disruptive par rapport à toutes les technologies terrestres avancées.

 

Mais nous savons que les recherches continuent dans le plus grand secret et que les militaires s’activent dans la coulisse pour fabriquer un engin qui aurait les mêmes capacités de vol que les ovnis.

 

 

Ci-dessus : Organigramme des rapports entre la société civile et les autorités chargées d’étudier le phénomène ovni. Ce qu’il est important de remarquer dans cette représentation, c’est le type de rapports qui lient entre eux le sommet (la « cellule spéciale ». L’AATIP était une de ces « cellules spéciales ») de l’organigramme avec sa base (la société civile). On remarque, quelque soit le niveau dans l’organigramme, que l’information concernant le phénomène ovni est soigneusement filtrée et qu’elle est habilement entremêlée à de la désinformation (Illustration Daniel Robin).

 

 

Tous les moyens de détection dont disposent les militaires sont mis en œuvre pour récolter un maximum d’informations sur les ovnis.

 

Côté américain, la Nasa, l’USAF (« Force aérienne des États-Unis »), l’US Navy, la NSA, la CIA, et d’autres officines moins connues, redoublent d’efforts pour s’approprier la technologie exogène, dans une ambiance de luttes intestines entre ces différentes organisations. L’enjeu est de taille : la suprématie militaire globale et la domination du monde.

 

 

Ci-dessus : Divers projets secrets d’avions furtifs américains dont le mystérieux TR-3A Black Manta. Une partie de la technologie de ces avions furtifs pourrait d'ailleurs être issue de la rétro-ingénierie à partir d'un vaisseau récupéré par l'USAF. 

 

 

Il semblerait qu’il se prépare du côté américain des « révélations » de plus en plus importantes dans un avenir proche mettant en avant la sécurité aérienne des Etats-Unis et l’urgence d’agir pour empêcher... quoi ?

 

S’agit-il de prévenir un éventuel conflit avec les aliens, une invasion de notre planète par une ethnie extraterrestre belliqueuse, une déclaration officielle concernant une présence extraterrestres sur notre planète, etc. ?

 

Depuis quelques mois (mars 2023), on constate une certaine fébrilité des autorités (politiques, militaires, scientifiques, services de renseignement, etc.) occidentales comme si il se préparait « quelque chose » d’énorme !

 

Les Trois degrés d’implication.

Si des groupes fermés (secrets) de politiques, de militaires (armée et services de renseignement) et de scientifiques disposent d’informations irréfutables au sujet du phénomène ovni, nous sommes en droit de nous poser cette question fondamentale qui est lourde de conséquences : quels degrés d’implication ces groupes ont-ils avec vis-à-vis de ce phénomène ? J’ai établi une gradation dans cette relation ovnis/humains, et j’estime que nous pouvons retenir schématiquement trois degrés d’implication :

 

Degré 0 d’implication.

Caractéristiques du degré zéro : observation et détection à distance du phénomène ovni. Collecte de rapports d’observations et de témoignages. Enregistrements radar, films et photos d’ovnis. Récupération de divers matériaux provenant des ovnis (éjectas, débris). Notons qu’en juin 2017, Jacques Vallée a donné une conférence sur la question des éjectas à l’Institut Métapsychique de Paris. Ce qui montre qu’il n’est pas « hostile » à l’idée d’une certaine matérialité des ovnis contrairement aux idées reçues. Analyses approfondies de traces au sol, voire d’implants. A ce niveau d’implication, il semble que le phénomène ovnis ne représente pas une menace immédiate pour la sécurité des Etats. Il reste cependant que les autorités des pays concernés assistent impuissantes aux évolutions d’engins inconnus dans leurs espaces aériens. Pas de contact direct avec le phénomène, mais simple constat que le phénomène est bien réel (matériel et physique).Aucune communication officielle sur ce sujet. Pas d’explication définitive, le phénomène garde tout son mystère.

 

Degré 1 d’implication.

Caractéristiques du degré 1 : observation du phénomène ovni avec contacts sporadiques et limités, sans influence directe sur les affaires humaines. Rencontres secrètes que l’on peut qualifier de « courtoises » entre des représentants de la civilisation (ou des civilisations) à l’origine du phénomène ovni (E.B.E) et des représentants terriens sélectionnés. Échanges d’informations, voire transfert limité de technologies. Démonstration des prouesses des ovnis pour montrer aux terriens leur supériorité technologique. Contacts avec le phénomène ovni, mais pas d’interférence notable avec les affaires humaines. Tout se passe à un niveau très confidentiel (armée, service de renseignement, certains politique et scientifiques triés sur le volet). Certains groupes humains connaissent la vérité au sujet des ovnis, mais ils ne divulguent aucune information sur ce qu’ils savent.

Un exemple de ce second degré d'implication est la rencontre qui aurait eu lieu en 1954 (et aussi en 1955) à la base Air Force d’Holloman au Nouveau Mexique entre l’ancien président américain Dwight D. Eisenhower (1890-1969), surnommé « Ike », et les représentants d’une civilisation extraterrestre. C’est en tout cas ce qu’a affirmé Timothy Good, un ancien consultant du Congrès et du Pentagone, dans l’émission de Frank Skinner, « Opinionated », sur la BBC2.

 

 


Ci-dessus : Un exemple de ce second degré d’implication est celui des rencontres qui auraient eu lieu en 1954 et 1955 à la base Air Force d’Holloman située au Nouveau Mexique entre l’ancien président américain Dwight D. Eisenhower (1890-1969), surnommé « Ike », et les représentants d’une civilisation extraterrestre. C’est en tout cas ce qu’a affirmé Timothy Good, un ancien consultant du Congrès et du Pentagone, dans l’émission de Frank Skinner, « Opinionated », sur la BBC2.
 

 

Degré 2 d’implication.

Caractéristiques du degré 2 : Il y a des contacts importants et fréquents au plus haut niveau. Collaboration active des pouvoirs en place avec la civilisation (ou les) extraterrestre. Il existe des échanges importants d’informations et des transferts massifs de technologies. Nous pouvons imaginer que dans le pire des scénarios la civilisation extraterrestre exercerait un contrôle presque total sur notre planète. Les extraterrestres dicteraient les grandes lignes de l’organisation économique, politique et scientifique des états. Ils pourraient programmer notre avenir. Une infiltration des extraterrestres dans toutes les sphères dirigeantes de la planète est aussi envisageable. Ils pourraient même prendre une apparence humaine pour passer inaperçus. Dans ce scénario de l’extrême, les politiques seraient soumis aux extraterrestres. Nous pensons cependant que le pouvoir politique serait nettement moins impliqué, voire même dans certains cas pas du tout impliqué, dans les activités conjointes entre terriens et extraterrestres. À ce niveau d’implication tout est possible. Le phénomène peut alors représenter une grave menace pour notre planète et l’avenir de notre civilisation. Cependant, nous pouvons aussi imaginer l’hypothèse inverse, c’est-à-dire que les extraterrestres exerceraient un contrôle bénéfique et positif sur notre civilisation, avec l’intention de nous guider et de nous « éduquer » pour nous permettre d’accéder à un niveau supérieur de civilisation (système d’apprentissage). Le degré 2 implique des contacts étroits avec les extraterrestres. Il suppose une intervention et une ingérence maximales des extraterrestres dans les affaires humaines. Tout se passe à un niveau confidentiel mais les militaires et les scientifiques sont soumis au phénomène. Le phénomène dicte sa loi sans que nous puissions nous y opposer. 

 

 
Ci-dessus : Deux scènes du film « Rencontres du troisième type » réalisé par Steven Spielberg et sorti en 1977. L’une des dernières scènes du film montre douze volontaires (militaires et scientifiques), dix hommes et deux femmes, qui montent dans le gigantesque vaisseau spatial extraterrestre qui va les emmener vers une lointaine planète. Selon certains ufologues, cette scène pourrait être une sorte de « clin d’œil » de Spielberg au « Projet Serpo ». Rappelons brièvement que le « Projet Serpo », ou « Programme d’Echange de Zeta Reticuli », ou encore « Project Crystal Knight », serait un programme d’échange qui aurait été établi entre les terriens et les aliens appelés Ebens (Ebens vient de E.B.E). A la suite de « négociations », les terriens auraient bénéficiés de technologies inconnues sur terre qui seraient à la source des progrès fulgurants réalisés dans plusieurs secteurs de pointe (informatique, fibre optique, laser, vision nocturne, etc.). Toujours dans ce contexte d’échange, le gouvernement américain aurait choisi douze militaires : douze hommes (dix hommes et deux femmes dans une autre version) comme « monnaie d’échange ». En 1965 l’équipe des douze humains prit place à bord d’un vaisseau spatial extraterrestre qui les emmena vers la planète Serpo qui serait en orbite autour d’une des étoiles du système Zeta Reticuli (système double). Le programme d’échange aurait duré jusqu’en 1978. Certains membres de l’équipe des douze seraient morts sur la planète Serpo. Le dernier survivant de cette extraordinaire aventure serait mort en 2002. Le « Projet Serpo » pourrait être une bonne illustration de ce qui caractérise un degré d’implication situé ente le niveau 1 et le niveau 2.
 

 


 

Les trois niveaux d’implication des structures politiques, militaires, et scientifiques, décrits ci-dessus, sont bien évidemment très schématiques. Il peut exister de nombreux degrés intermédiaires entre ces trois grandes catégories. Toutes les combinaisons sont en fait possibles.

 

Ce qui est sûr en tout cas, c’est que le « degré zéro » est aujourd’hui une réalité bien établie.

 

Il y a quelque années, j’estimais que le « degré deux » était peu probable, mais aujourd’hui j’ai changé d’avis. Il n’est pas impossible, en effet, que le degré extrême d’implication des états soit une réalité. Quand j’ai commencé à élaboré cette « grille » d’implication en trois degrés, je pensais à cette époque que notre degré d’implication vis-à-vis du phénomène ovni se situait quelque part entre le « degré 0 » et le « degré 1 », et qu’il était sans doute plus proche du « degré 1 » que du « degré 0 » (0,8 ou 0,9). Aujourd’hui, ma vision a changé et j’estime que nous sommes sans aucun doute très proches du « degré deux ». De nouvelles informations vont dans ce sens.

 

Daniel Robin (mars 2023)

 

 

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Une étude exceptionnelle