------------------------- S I T E O F F I C I E L -------------------------
Cet
article ne concerne pas directement les ovnis de forme triangulaire, mais en
raison de l’importance des documents qui y sont présentés et étudiés, j’ai
décidé de le publier sur ce site. Par ailleurs, il est possible d’envisager l’hypothèse
selon laquelle les vaisseaux géants repérés dans les anneaux de Saturne
abritent les ovnis triangulaires observés sur terre. Ces vaisseaux géants
pourraient être des sortes de bases arrières ou des " vaisseaux-mère " pour ces engins.
Des vaisseaux géants
dans les anneaux de Saturne ?
Des astronomes donnent leur avis
Un article de Daniel Robin
Juin 2018
Il existe dans les anneaux de Saturne des lunes que l’on appelle aussi des
« satellites bergers » qui sont parfaitement connus et qui ont tous
des formes irrégulières qui sont familières aux astronomes. Aucun des corps
naturels qui orbitent autour des planètes du système solaire n’a une forme
cylindrique régulière presque parfaite. Hors il existe trois documents de la Nasa qui
montrent une structure cylindrique gigantesque qui se déplace à
l’intérieur d’un des anneaux de la planète Saturne. Les photos sont
authentiques à moins d’admettre qu’elles aient été retouchées (dans quel
but ?) par l’agence spatiale américaine. En tout cas, elles montrent, sans
équivoque possible, une structure allongée aux formes régulières, dont
l’origine ne semble pas naturelle. Je propose dans cet article une analyse
approfondie de ces images et je rapporte l’avis d’astronomes professionnels qui
les ont examinées. Après avoir envisagé toutes les hypothèses
« raisonnables », il faut reconnaître que la nature exacte de cette
structure allongée aux formes régulières suscite de nombreuses questions.
IMPORTANT
Les
liens ci-dessous ne renvoient plus aujourd’hui vers les documents originaux
du site Internet de la Nasa qui sont à l’origine de cet article.
Ces liens ont été supprimés il y a peu de temps.
du site Internet de la Nasa qui sont à l’origine de cet article.
Ces liens ont été supprimés il y a peu de temps.
Ci-dessus (Illustration 1) : Trois clichés de
l’orbiteur Cassini montrant une anomalie dans l’un des anneaux de la planète
Saturne. La Nasa et le JPL (Jet Propulsion Laboratory) n’ont fait
aucun commentaire officiel sur ces images (Source Nasa).
Saturne : le « Seigneur des
anneaux ».
Saturne est sans
conteste l’un des plus belles planète de notre système solaire. Elle émerveille
tous les astronomes, qu’ils soient amateurs débutants ou professionnels
chevronnés. Sixième planète de notre système, c’est une géante gazeuse
principalement composée d’hydrogène. D’un diamètre d’environ neuf fois et demi
celui de la Terre, c’est la seconde en masse après Jupiter. Son aphélie,
c’est-à-dire le point de sa trajectoire qui est le plus éloigné du Soleil, est
de 1.503.983.449 km. Sa périhélie, c’est-à-dire le point de sa trajectoire qui
est le plus proche du Soleil, est de 1.349.823.615 km. Mais ce qui fait que
Saturne est une planète exceptionnelle, c’est le déploiement majestueux de ses
anneaux qui forment une structure d’une incroyable complexité. Les anneaux de
Saturne représentent l’un des phénomènes les plus remarquables du système
solaire et constituent la caractéristique principale de cette planète.
Aujourd’hui, les anneaux de Saturne sont les objets célestes qui sont le plus
étudiés par les astronomes.
Bien qu’ils
paraissent d’un seul tenant vus de la Terre, les anneaux sont constitués
d’innombrables particules de poussière et de glace (de 95 à 99 % de glace
d’eau pure) d’une taille variant de quelques micromètres à plusieurs centaines
de mètres. Depuis la Terre, trois anneaux seulement peuvent être vus :
deux anneaux proéminents (A et B) et un anneau plus faible (C). Saturne possède
en fait d’autres anneaux : D, E, F, G. L’espace entre les anneaux A et B est
connu sous le nom de division de Cassini. L’anneau A est lui-même divisé par un
espace moins visible nommé division d’Encke. L’ensemble de tous les anneaux
s’étend sur un rayon de plus de 400.000 km autour de Saturne, mais ils sont
cependant très fins. L’épaisseur moyenne varie entre 2 et 10 mètres. Si
les anneaux étaient compressés en un seul corps, celui-ci n’aurait pas plus de
100 km de diamètre. L’anomalie qui est
à l’origine de l’un des plus grands mystères de Saturne est située dans
l’anneaux A, et plus précisément dans un espace appelé division (ou Gap) de
Keeler. Cette division est située à l’extrémité de l’anneaux A. Bien que les
scientifiques supposaient l’existence d’une petite lune se déplaçant dans cette
division et capable de la « nettoyer » de ses particules, aucune
observation n’avait permis de la localiser et de la voir avant la mission
Cassini-Huygens.
C’est le 1er mai 2005 que la sonde
Cassini a découvert un objet qui pouvait être à l’origine de la division de
Keeler (le satellite ou
lune Daphnis). Les images montraient un objet plus ou
moins sphérique ayant l’apparence d’une petite lune ainsi que des structures
spirales, appelées ondes de densité, qui étaient déclenchées par la gravité du
satellite. La lune a été baptisée S/2005 S1 et elle se situe à 136.505
km du centre de Saturne. S/2005 S1 serait donc la
deuxième lune que nous connaissons évoluant à l’intérieur des anneaux de
Saturne. La première lune étant le satellite Pan.
Je rappelle que la mission Cassini-Huygens a été lancée le 15
octobre 1997 de Cap Canaveral aux Etats-Unis. L’objectif de cette mission
ambitieuse était l’étude de la planète Saturne et de ses nombreux satellites.
Le vaisseau Cassini-Huygens était composé de l’orbiteur Cassini et du module
d’atterrissage Huygens. Le 1er juillet 2004 l’engin était mis en orbite
autour de Saturne. Le 14 janvier 2005, le module atterrisseur européen Huygens
s’est détaché de la sonde porteuse et s’est posé seul sur le satellite Titan.
Il a pu transmettre de précieuses informations sur la composition de
l’atmosphère dense et de la surface du plus grand satellite de Saturne lors de
sa descente et pendant toute la durée de son atterrissage. Après cette
séparation, l’orbiteur Cassini a poursuivi seul sa mission autour de Saturne
qui avait été initialement fixée à 4 ans, mais qui a été prolongée à deux
reprises, de 2008 à 2010, et de 2010 à 2017. La sonde spatiale Cassini a fini
son voyage en plongeant dans l’atmosphère de Saturne le 15 septembre 2017. La mission a permis de découvrir une
trentaine de nouvelles lunes autour de Saturne dont les tailles varient de 2,5
à 7 km, portant ainsi le nombre total de satellites saturniens à 62.
Ci-dessus (Illustration 2) : Plan du vaisseau Cassini-Huygens sur le site Internet du Jet Propulsion Laboratory. Lors de sa mission, l’orbiteur Cassini avait embarqué deux caméras. La première était une caméra grand-angle (Wide Angle Camera - WAC), ayant une focale de 200 millimètres et une ouverture de 3,5, destinée à des vues générales. La seconde était une caméra à longue focale (Narrow Angle Camera - NAC), ayant une focale de 2 000 millimètres et une ouverture de 10,5, permettait des plans rapprochés. Chaque caméra était équipée d’un capteur CCD d’un mégapixel (un million de pixels). Les caméras étaient capables d’enregistrer des séquences vidéo et de mettre en place des filtres grâce à un mécanisme comprenant deux roues pour chaque caméra, servant à intercaler une série de filtres.
Ci-dessus (Illustration 2) : Plan du vaisseau Cassini-Huygens sur le site Internet du Jet Propulsion Laboratory. Lors de sa mission, l’orbiteur Cassini avait embarqué deux caméras. La première était une caméra grand-angle (Wide Angle Camera - WAC), ayant une focale de 200 millimètres et une ouverture de 3,5, destinée à des vues générales. La seconde était une caméra à longue focale (Narrow Angle Camera - NAC), ayant une focale de 2 000 millimètres et une ouverture de 10,5, permettait des plans rapprochés. Chaque caméra était équipée d’un capteur CCD d’un mégapixel (un million de pixels). Les caméras étaient capables d’enregistrer des séquences vidéo et de mettre en place des filtres grâce à un mécanisme comprenant deux roues pour chaque caméra, servant à intercaler une série de filtres.
Ci-dessus (Illustration 3) : Les anneaux de
Saturne. Depuis la Terre, trois anneaux seulement peuvent être
vus : deux anneaux proéminents (A et B) et un anneau interne plus faible
(C). Saturne possède en fait d’autres anneaux : D, E, F, G. L’espace entre les
anneaux A et B est connu sous le nom de division de Cassini. L’anneau A est
lui-même divisé par un espace moins visible nommé division d’Encke. La division
de Keeler est encore plus éloignée du centre de la planète que celle d’Encke
(sur le document, à l’extrême droite de l’anneau A).
Ci-dessus (Illustration 4) : Partie extérieure de l’anneau A (entre
122.200 km et 136.780 km du centre de Saturne). La région dans laquelle a été
photographié un cylindre mystérieux est la division, ou Gap, de Keeler située à
l’extrémité extérieure de l’anneau A.
Ci-dessus (Illustration 5) : Au milieu
des anneaux de Saturne, il est possible de mettre en évidence de petites lunes
que les astronomes appellent des « satellites bergers ». Ces astres,
généralement de taille modeste sont situés en bordure des anneaux. Les
« satellites bergers » créés des sortes de ruptures et des espaces
vides de matière dans les anneaux. Dans l’anneau A qui est situé vers
l’extérieur du système des anneaux de Saturne et au-delà de la division
d’Encke, il y a un espace vide de matière qui est appelé division de Keeler et
où réside la lune Daphnis baptisée
S/2005 S1. Daphnis a été photographiée plusieurs fois par la sonde
Cassini. Le document ci-dessus qui date du 16 janvier 2017 est la photo la plus
nette jamais prise de cette lune de huit kilomètres de long dont la surface
paraît recouverte d’un matériau assez lisse. Cette image a été réalisée à
28 000 kilomètres de distance et sous un angle de 71°. Sa résolution est de
168m/pixel. L’attraction
gravitationnelle et la rotation de Daphnis (S/2005 S1) contribuent à créer et à
entretenir le vide dans la division de Keeler. On remarque également sur le
document que les bords ondulés provoqués par l’attraction gravitationnelle du
satellite sont plus prononcés à mesure qu’il est proche (Image Credit :
Nasa/JPL/Space Science Institute). La division de Keeler se trouve à 136.530 km
du centre de Saturne. Elle mesure 42 km de large et elle est distante de 250 km
du bord externe de l’anneau A.
Une « lune » qui change
de forme.
La découverte de S/2005 S1 aurait pu en
rester-là si de nouvelles images en provenance de la sonde Cassini ne m’avaient
pas grandement intriguées. En effet, les images d’août 2008 montraient dans la
division de Keeler un nouvel objet de forme cylindrique et beaucoup plus
allongé que sur les clichés précédents de Daphnis. Ce nouvel objet semblait très différent de
la petite lune découverte auparavant. L’explication officielle qui avait été
donnée à cette curieuse métamorphose était la suivante : la petite lune
s’était tout simplement allongée sous l’effet gravitationnel de la planète Saturne
en moins de 3 ans : entre le 1er mai 2005 et le mois
d’août 2008.
Pour expliquer les différences spectaculaires
entre les images de la sonde Cassini concernant l’objet situé dans la division
de Keeler, il est possible et même logique d’envisager une autre hypothèse que
celle de la « dilatation » ou la « dislocation » de la lune
Daphnis (S/2005 S1) sous l’effet de la gravitation de Saturne. L’hypothèse que
j’avance est qu’il pourrait s’agir en réalité de deux objets distincts
photographiés dans des zones différentes : d’une part la lune Daphnis et
d’autre part, un objet cylindrique inconnu repéré par la sonde Cassini et situé
à un autre endroit de la division de Keeler. Cet objet mystérieux pourrait être
un vaisseau géant dont la largeur avoisinerait les 15 km et la longueur
dépasserait les 100 km. Plusieurs détails troublants (section droites à l’avant
et à l’arrière de l’objet, pointes noires situés aux extrémités, forme générale
régulière) font pencher pour cette hypothèse. Jusqu’à présent (juin 2018) nous
n’avons enregistré aucun commentaire de la Nasa concernant cet objet.
Ci-dessus (Illustration 6) : L’objet de forme allongée et cylindrique photographié
dans la division de Keeler. Officiellement, il s’agirait de la lune
Daphnis (S/2005 S1) qui, sous
l’effet gravitationnel de la planète Saturne, aurait changé brusquement de
forme entre les deux clichés. La lune Daphnis se serait disloquée et aurait
prise cette forme allongée. Cette hypothèse paraît en réalité peu probable selon les astronomes interrogés
(source Nasa).
L’avis
des astronomes professionnels.
Avant
de me lancer dans la rédaction de ce dossier, je me suis bien évidemment tourné
vers des astronomes professionnels pour avoir leur avis sur les étranges clichés
de la Nasa. Voici ce que l’un d’eux, que je vais appeler « Michel »,
m’a répondu. Pour des raisons de prudence, « Michel » préfère garder
l’anonymat :
« Je reviens vers toi par rapport aux photos du mystérieux
cylindre dans les anneaux de Saturne. En premier lieu, et avec une certaine
quantité de photos de Saturne prises à l’aide d’un télescope T800, j’ai eu
l’occasion de bien observé la planète sous toutes ses coutures et je n’ai
jamais vu un tel objet. Concernant les ondulations, ce phénomène est commun aux
planètes géantes qui ont des lunes proches, qui sont soumises à l’attraction
gravitationnelle de la planète parente (en fonction de leur distance) et
subissent des allongements mais pas de cette forme là. On pourrait comparer ces
déformations à un astéroïde (forme de « patate »). Pour moi, il n’y a
aucune explications rationnelle à avoir un objet de cette forme. La seule
explication est que les photos ont été retouchées (truquées) par la Nasa. »
(8 mai 2018).
En discutant avec cet ami astronome, qui est aussi astrophysicien
professionnel, il m’a confirmé que la Nasa retouchait volontairement certains
clichés de ses missions pour tromper les ufologues vis-à-vis desquels elle
aurait un profond mépris. Je laisse à cet ami l’entière responsabilité de ces
propos.
J’ai montré les mêmes documents à
un autre astronome, que je vais appeler « Jean », qui a travaillé en
collaboration avec le CNRS au télescope de
1 mètre du Pic du Midi. Voici sa réponse très argumentée et fort pertinente (26
mai 2018) :
« Sans accès de
complotisme de ma part, je rejoins la conclusion de « Michel ». Il
est clair que l’on donne des « os à ronger » aux « moutons
récalcitrants » que nous sommes (ceux qui s’intéressent aux ovnis) afin de
troubler volontairement le paysage ufologique, quelle que soit l’origine du ou
des phénomènes concernés. En
prenant un peu de temps pour une analyse des images « avant/après »
inhérentes à la phénoménologie du cigare/Daphnis dans la division de Keeler des
anneaux de Saturne, on peut être amené à faire un certain nombre de remarques :
- Daphnis est
répertorié avec une densité de 0,3 +/- 0,2 (à comparer à celle de l’eau = 1 à
0°c). Ces dimension sont de 9 km/6 km (environ).
- Pan, l’autre lune berger des anneaux de
Saturne, de dimension approximative 34 km/21 km a une densité 0,4 qui s’accorde
donc avec celle de Daphnis.
- La densité typique d’une comète est de
l’ordre de 0,2. On remarque immédiatement que la densité des satellites bergers
de Saturne est très proche de celle des comètes. Les comètes sont
structurellement des objets peu cohésifs. C’est à prendre en considération.
Néanmoins :
- La température des anneaux est de l’ordre de
-183°c. On peut donc s’attendre, sans risque de se tromper, que les satellites
bergers baignent dans le même environnement thermique.
- Daphnis se trouve à moins de 3000 km au delà
de Pan puisque à 136 504 km de barycentre saturnien contre 133 584 km pour Pan,
et ce dernier, que je sache, n’a pas implosé alors qu’il est plus susceptible
de le faire au vue, d’une part, de sa masse largement supérieure à celle de
Daphnis, et, d’autre part, qu’il est sensiblement plus proche de la limite de
Roche saturnienne.
- Daphnis se trouve à 1,8 x environ la
limite de Roche saturnienne. Presque 2 x plus loin donc de la limite théorique
de non cohésion d’un objet solide de type « berger saturnien » par
rapport à la planète mère. Au delà de la limite de Roche, les objets (Pan ou
Daphnis ici) sont accélérés et tendent à quitter l’orbite de
« parking » et s’éloigner de la planète Mère (c’est le cas de la Lune
qui s’éloignent de la Terre de près de 4 cm/an). Par ailleurs, au-delà de cette
limite, les forces de marée ne produisent que des frottements entre les
matériaux du satellite et de la planète. Cela produit généralement un bourrelet
à la surface des objets, mais pas de dislocation !
- Il faut
aussi noter que les anneaux de Saturne sont composés à 99,9 % de
particules d’eau gelée avec quelques impuretés pouvant inclure du tholin
(composés azotés dopés en hydrocarbures) et des silicates (silice et oxydes métalliques). Les lunes bergers doivent
en toute logique être composés des mêmes matériaux que celui des anneaux à
l’instar, d’ailleurs, des comètes.
- Il est donc
difficile d’imaginer une implosion de Daphnis en si peu de temps (entre le 1er mai 2005 et
le mois d’août 2008) à 2
fois la limite de Roche puisque le jeu des forces de marées à cette distance
tend plutôt à éloigner le planétoïde plutôt qu’à le disloquer (c’est la
physique qui le dit). Ce d’autant plus que sur les images de Daphnis de janvier
2017 (si les dates sont correctes), il n’existe aucun témoignage visuel de
fracturation annonçant une fragmentation du planétoïde et plus encore sa
pulvérisation en micro particules comme semble le montrer l’image du cylindre
qui s’affiche comme une bande de particules.
- Entre
l’image de Cassini datant de janvier 2017, et l’image allongée de cette
dernière (cylindre) datant de 2008, l’objet se serait « reformé »
entre temps et repris exactement les mêmes caractéristiques ?
- En se référant
aux documents photographiques, et en agrandissant l’image du cylindre, on
s’aperçoit qu’il adopte une structure linéaire uniforme en pleine zone de
perturbation gravitationnelle qui produit des ondulations marquées de la limite
inférieure et surtout supérieure de la division de Keeler. En outre, le jeu des
effets gravitationnels et centrifuges devraient étaler les particules en
longueur car elles n’ont pas toutes la même masse et ne subissent donc pas les
mêmes effets gravitationnels. L’existence même de « limites »
verticales à chaque extrémité du cylindre, perpendiculaires à l’axe horizontal,
c’est-à-dire à l’orbite de Daphnis, n’ont aucune cohérence avec la physique
d’une dynamique orbitale de micro ou macro particules de glace assimilable à un
fluide (voir dynamique des fluides), ce qui est le cas des anneaux de Saturne.
Ceci amène
(au moins) 2 questions :
.1)
Pourquoi la perturbation gravitationnelle existe-t-elle encore (ondulation des
anneaux) alors que le planétoïde est disloqué et que sa masse est dispersée
(donc les effets gravitationnels aussi en théorie) ?
.2)
S’il n’y a plus de satellite berger, il ne devrait plus y avoir non plus de
division de Keeler. Qui plus est, les particules de « l’ex Daphnis »
(glace d’eau + tholin et sillicates) devraient avoir fusionnées avec les
anneaux et ne plus être présentes au beau milieu de la lacune gravitationnelle
(division de Keeler).
Tout cela
n’est pas très cohérent avec la physique, et il semble y avoir des imprécisions
(incohérences) entre les dates des différentes images.
Enfin, une
des images de Daphnis affiche une résolution (annoncée) de 165 m/pixel ce qui
est extrêmement fin pour de l’imagerie spatiale. Qu’en est-il des images du
cylindre qui semblent infiniment moins résolues, et pourquoi ? (la
différence de distance de prise de vue n’expliquerait pas tout en cette
occurrence, la résolution ne devrait pas autant chuter tel qu’il apparaît).
Voilà tout ce
que je peux dire, mais tout cela est très subjectif. Les données inhérentes à
ces images sont trop peu importantes et n’ont pas les mêmes référentiels pour
calculer quoique ce soit de fiable. »
Signé : « Jean »
Voici ma réponse
à « Jean » daté du 27 mai 2018 :
« Merci
de m’avoir accordé de ton temps, que je sais être précieux, pour réfléchir aux
problèmes posés par les documents de la Nasa.
En tout cas,
ton analyse est fort éclairante et vient conforter l’idée, selon moi, qu’il se
passe des « choses étranges » dans les anneaux de Saturne.
Ta remarque
sur la médiocre définition des images du cylindre contrastant avec celles de
Daphnis est un indice supplémentaire qui va dans ce sens.
Je m’étais
moi-même fait la réflexion.
Un
objet quasiment cylindrique, même d’origine naturel, de ce type - rarissime
tout de même dans le système solaire - aurait dû provoquer une avalanche
d’images rapprochées (avec une haute résolution) venant de la Nasa, et une même
avalanche de commentaires de la part de la communauté astronomique
internationale.
Hors, à ma
connaissance, rien n’a été dit du côté des astronomes, et aune image plus fine
supplémentaire n’a été publiée suite à ce changement rapide de forme (version
officielle) de Daphnis.
Par ailleurs,
ta remarque très pertinente sur le fait que « l’avant » et
« l’arrière » du cylindre s’arrêtent sur des plans droits, ne colle
pas avec une dislocation de particules fines de diverses masses qui se
comportent comme un fluide : le cylindre aurait dû être beaucoup effilé et
aurait même dû se dissoudre dans l’anneaux A.
Si
tu m’en donnes l’autorisation, je souhaite reprendre ton analyse pour une étude
qui sera publiée sur différents sites. »
Suite
à mon mail, « Jean » m’adresse sa réponse :
« Oui,
bien-sûr, tu peux utiliser ce que tu veux. Il n’y a rien de polémique dans mes
propos, et encore moins de privé, simplement du factuel et de la physique.
PS
: Daphnis orbite à 61.231 km/h autour de Saturne (107 000 km/h pour la Terre
autour du Soleil) contre 60.800 km/h pour Pan, ce qui est mécaniquement
exactement la même chose, et cela génère un sacré effet de fronde ! En
particulier parce que Daphnis, encore une fois, est éloignée de près de 2 fois
la limite de Roche (qui devrait se situer aux alentours de 76 000 km du
barycentre saturnien) contre 136 504 km pour Daphnis. A cette distance, c’est
comme si on « lâchait » la fronde laissant s’éloigner le projectile
(Daphnis ou Pan). Tant que tu retiens la fronde (limite de Roche), il y a
tensions mécaniques et pour un objet très peu cohésif, fragmentation de
celui-ci. Quand tu « lâches » la fronde, les forces de tensions
mécaniques se transforment en énergie cinétique qui « fuient » le
centre de masses (forces centrifuges) c’est la raison pour laquelle les deux
satellites bergers (Daphnis et Pan) ne doivent (en théorie) pas se fragmenter
là où il se trouvent.
Donc les
forces centrifuges s’opposant aux forces gravitationnelles de Saturne sont
quasi, voire strictement, identiques pour Pan et Daphnis, vis-à-vis de Saturne.
La masse volumique des 2 planétoïdes est, elle aussi, identique, la composition
chimique des 2 objets également (ils ont exactement le même albédo de 0,5).
Hors, l’un se disloque, et même pire se fragmente en micro particules, et pas
l’autre (Pan) (?!!), qui n’en présente absolument aucun signe.
Et puis,
encore une fois, en termes d’imagerie, tu l’as bien remarqué, la résolution
spatiale du cylindre/bande/ex-Daphnis est dramatiquement faible alors qu’elle
devrait atteindre au minimum quelques petits km/pixel puisque l’on parle (en
théorie) du même système de prise de vue et du même protocole (algorithmes) de
traitement d’images de Cassini. »
Signé : « Jean »
(28 mai 2018).
Récapitulation des arguments
avancés par « Jean » :
.a)
L’argument de la dislocation de Daphnis sous l’effet des forces
gravitationnelles de Saturne n’est pas recevable car pourquoi l’autre satellite
berger de Saturne (Pan) reste intact alors qu’il est formé des mêmes éléments
chimiques et qu’il est soumis aux mêmes forces gravitationnelles ? Pan est en effet plus susceptible de se disloquer
au vue, d’une part, de sa masse largement supérieure à celle de Daphnis, et,
d’autre part, parce qu’il est sensiblement plus proche de la limite de Roche
saturnienne.
.b)
La première photo de Daphnis date du 1er mai 2005, celle du
cylindre date du mois d’août 2008, et la dernière, qui est aussi la meilleure jamais réalisée
de Daphnis, date du 16 janvier 2017 (illustration V ci-dessus). Cette
dernière image a été réalisée à 28 000 kilomètres de distance de la lune et
sous un angle de 71°. Il n’est pas possible que Daphnis ait changé de forme
aussi rapidement entre ces trois dates. Entre l’image de Cassini datant de
janvier 2017, et l’image allongée de cette dernière (cylindre) datant de 2008,
l’objet se serait « reformé » entre temps et repris exactement les
mêmes caractéristiques ?
.c) En se référant aux documents photographiques,
on s’aperçoit que le cylindre a une structure linéaire uniforme en pleine zone
de perturbation gravitationnelle qui produit des ondulations marquées de la
limite inférieure et surtout supérieure de la division de Keeler. Le jeu des
effets gravitationnels et centrifuges devraient étaler les particules en
longueur car elles n’ont pas toutes la même masse et ne subissent donc pas les
mêmes effets gravitationnels. L’existence même de « limites »
verticales à chaque extrémité du cylindre perpendiculaires à l’axe horizontal,
c’est-à-dire à l’orbite de Daphnis, n’ont aucune cohérence avec la physique
d’une dynamique orbitale de micro ou macro particules de glace assimilable à un
fluide (voir dynamique des fluides), ce qui est le cas des anneaux de Saturne.
Pourquoi la perturbation gravitationnelle existe-t-elle encore (ondulation des
anneaux) alors que le planétoïde est prétendument disloqué et que sa masse
devrait être dispersée (donc les effets gravitationnels aussi en théorie) ?
Conclusion : le cylindre semble donc avoir une masse suffisante pour
générer une ondulation des anneaux.
d)
Les toutes dernières images de Daphnis prise par Cassini le 16 janvier 2017
affiche une résolution (annoncée) de 168 m/pixel ce qui est extrêmement fin
pour de l’imagerie spatiale. Qu’en est-il des images du cylindre qui semblent
infiniment moins résolues, et pourquoi ? La différence de distance de
prise de vue entre les images n’explique pas tout. Il semble logique de penser
qu’un objet quasiment cylindrique d’origine naturel, aurait dû provoquer une
avalanche d’images rapprochées (avec une haute résolution) venant de la Nasa,
et une même avalanche de commentaires de la part de la communauté astronomique
internationale. Il se trouve que rien n’a été dit du côté des astronomes, et
qu’aucune image plus fine supplémentaire n’a été publiée par la Nasa suite à ce
changement rapide de forme (version officielle) de Daphnis.
Ci-dessus (Illustration 7) : Trois documents sensés montrer Daphnis à
trois époques différentes. En haut : le 1er mai 2005. Au
milieu : en août
2008. En bas : le 16 janvier 2017. La question qui se pose est
celle de savoir si c’est le même « objet » qui est visible sur ces
trois clichés ? Pour au moins deux d’entre eux, c’est en effet le cas.
Pour le troisième, celui du milieu, il s’agit sans aucun doute d’un autre
« objet ».
Les
arguments avancés par « Jean » plaident, sans aucun doute possible en
faveur de l’hypothèse d’une origine non-naturelle du cylindre. Comme cet engin
n’a pas été fabriqué par l’homme, il faut en conclure qu’il est d’origine
inconnue ou extraterrestre.
L’autre
hypothèse exprimée par les deux astronomes que j’ai interrogé, est que les
documents sont faux, c’est-à-dire qu’ils auraient été sciemment falsifiés par
la Nasa. Je laisse le lecteur faire le choix de l’hypothèse qui lui semble la
plus plausible.
J’ai trouvé sur un forum une
hypothèse astucieuse mais qui ne résiste pas à l’analyse. Selon un internaute,
certaines images RAW publiées sur le site de la Nasa peuvent présenter des
sphères sous la forme de cylindres. Je rappelle qu’un fichier RAW est un
document non traité. C’est un document « brut » ou « originel »
qui contient plus d’informations qu’un fichier Jpeg/Tiff par exemple. Sur ce type de fichier, une
sphère peut présenter l’aspect d’un cylindre en raison du temps de pause :
la sphère est « déplacée » pendant le temps de pause et forme un
cylindre. Il faut alors « ramasser » le cylindre pour reconstituer la
sphère. Mais cette hypothèse n’est pas recevable dans le cas des cliché étudiés
ici car l’allongement d’un objet sphérique donnerait un rectangle aux
extrémités arrondies alors que les cylindres des anneaux de Saturne montrent
des plans droits à leurs extrémités.
Pour l’anecdote, je signale que le
cylindre saturnien a fait l’objet d’une publication intitulée Un cigare sur Saturne dans la très sérieuse revue L’Astronomie,
au mois d’octobre 2008. L’Astronomie est un mensuel édité par la
Société Astronomique de France. L’auteur de l’article n’était autre que Gilles
Dawidowicz, président de la commission planétologie de la Société Astronomique
de France.
Enfin, j’ai souhaité soumettre ces documents à Seb Janiak qui est l’un des pionniers de la photographie numérique et un artiste dont
l’œuvre est reconnue internationalement. Seb m’a confirmé que les clichés de la Nasa n’ont pas
été retouchés : ils sont authentiques. La raison pour laquelle je l’ai
contacté est qu’il a publié une étude exhaustive et fort bien documentée des
anomalies lunaires : Anomalies lunaires - Une étude photographique sur les conspirations et
canulars lunaires (Editions, Le Temps
Présent, avril 2016). Ce gros livre est une mine d’informations sur les
anomalies lunaires qui sont passées au crible de l’analyse photographique et
scientifique. Résultat : la plupart d’entres elles peuvent s’expliquer par
une interprétation abusive des clichés fournis par la Nasa. Pour Seb, une seule
anomalie résiste : celle du cratère Shackleton.
En
échangeant avec lui sur le fait que la Nasa pourrait détenir des documents
montrant de façon certaine qu’il existe une présence étrangère dans notre
système solaire, il me confia que :
« Je ne dirais pas que la Nasa a deux visages. Après 2 ans de gros travail en profondeur sur ce sujet, j’ai plutôt une bonne impression sur la Nasa et ses 18.000 salariés. Par contre, il n’est pas exclu qu’un service extérieur filtre ou récupère directement les fichiers « non conforme ». Un service entre la réception des données et leurs traitements…. Au USA, c’est toujours plus facile de confier à des boites privées ce genre de boulot. Il n’y a qu’à voir la NSA qui sous-traite avec plus de 30.000 salariés privées dans diverses boites très discrètes. »
« Je ne dirais pas que la Nasa a deux visages. Après 2 ans de gros travail en profondeur sur ce sujet, j’ai plutôt une bonne impression sur la Nasa et ses 18.000 salariés. Par contre, il n’est pas exclu qu’un service extérieur filtre ou récupère directement les fichiers « non conforme ». Un service entre la réception des données et leurs traitements…. Au USA, c’est toujours plus facile de confier à des boites privées ce genre de boulot. Il n’y a qu’à voir la NSA qui sous-traite avec plus de 30.000 salariés privées dans diverses boites très discrètes. »
Ci-dessus
(Illustration 8) : Anomalie du cratère Shackleton avec des points lumineux alignés formant
un triangle. Ce cliché a été pris par la sonde LRO. La résolution de l’image
est de 0,85 mètre par pixel. L’anomalie fait environ 200 mètres de long. C’est
un document officiel qui est visible sur plusieurs sites de la Nasa (source
Nasa/LROC). Ce qui est troublant dans cette affaire c’est que la Nasa, sous
l’administration de G.W. Bush, avait prévu d’implanter sa première base lunaire
permanente exactement sur la bordure du cratère Shackleton. Coïncidence, ou
programme planifié pour examiner de près l’anomalie du cratère ?
Les
« zones d’ombre » de la Nasa.
Il
ressort des recherches que j’ai effectué sur de multiples documents
photographiques provenant de la Nasa, que l’agence spatiale américaine
entretient un certain « flou » concernant l’interprétation de
certains d’entre eux. Ce « flou », ou ces interprétations maladroites
et embarrassées, proviennent du fait que ces documents montrent des structures
étranges qui ne semblent pas d’origine naturelle. Comme elle ne peuvent pas
être non plus le fait de l’être humain, la question qui se pose est celle d’une
éventuelle origine extraterrestre de ces structures.
Par
ailleurs, il n’est pas possible que la Nasa ne sache pas, ou ne comprenne pas,
que certains documents photographiques posent un réel problème
d’interprétation. Les astronomes professionnels savent tous que l’agence
spatiale américaine contrôle parfaitement le flux des documents qui sont
produits par ses missions spatiales. Alors pourquoi certains documents
troublants passent-ils à travers les mailles de ce filtre ? Il n’est pas
facile de répondre à cette question. Ce qui me paraît logique, en revanche,
c’est que la Nasa doit posséder une masse considérable de documents qui ne sont
pas connus du public et qui montrent sans équivoque possible que l’agence
spatiale américaine est parfaitement informée sur le fait qu’il existe une
présence extraterrestre dans notre système solaire.
Cette
situation suggère que la Nasa est une organisation qui possèderait « deux
visages » selon moi :
.1)
Une « vitrine » sympathique et très attractive qui est destinée à
informer un très large public sur ses activités officielles.
.2)
Une structure secrète, dont le programme est, au minimum, de surveiller les
activités des extraterrestres dans notre système solaire.
Je
dis « au minimum », car il n’est pas possible de connaître l’étendue
des activités de cette structure secrète. Celles-ci pourraient aller de la
simple surveillance à la prise de contact, ponctuelle ou régulière, avec les
visiteurs extraterrestres. Ce qui est hautement probable en tout cas, c’est que
l’agence spatiale américaine, et peut-être aussi des agences spatiales d’autres
pays (ESA : Europe - Roscosmos : Russie - CNSA : Chine -
JAXA : Japon - CNES : France - DLR : Allemagne - etc.),
dissimule tout un ensemble de programmes dont les objectifs sont très éloignés
des programmes officiels qui sont largement médiatisés. En ce sens, la Nasa soigne
tout particulièrement son « image ». La logique impeccable de ce
système, est que plus les programmes officiels sont médiatisés et moins le
public soupçonnera l’agence de mener des activités totalement secrètes. La
pseudo-transparence publique est sans doute la meilleure couverture possible
pour des projets menés en secret.
Des vaisseaux géants
extraterrestres ?
Ces images troublantes des prétendues
« lunes » de Saturne n’ont jamais été expliquées sérieusement. Cet
état de fait m’amènent à envisager sérieusement la possibilité de la présence
de vaisseaux géants extraterrestres dans notre système solaire. Les anneaux de
Saturne pourraient offrir, en effet, plusieurs avantages. Les vaisseaux
chercheraient par exemple à se cacher dans les divisions de Keeler et d’Encke
qui sont des espaces vides relativement étroits. Il est aussi très difficile de
voir un objet dans les anneaux de Saturne qui sont extrêmement brillants
(albédo de 0,2 à 0,6). Les vaisseaux seraient donc à l’abri à l’intérieur des anneaux.
Les anneaux pourraient aussi leur offrir la matière première nécessaire pour
fabriquer de l’eau ou d’autres matériaux. Les études spectrales, en particulier
dans l’ultraviolet, permettent d’avoir une idée de la composition chimique des
particules des anneaux. Selon ces études, les anneaux sont majoritairement
constitués de glace. Cette glace est plus ou moins « salie » par des
composés non identifiés. Cassini n’a pas permis de connaître la composition
exacte de ces impuretés. Enfin, il ne faut pas oublier que les images qui
parviennent jusqu’à nous ont été préalablement filtrées par la Nasa ou par un
organisme privé travaillant pour elle. Il faut donc imaginer que l’agence
spatiale américaine possède des documents beaucoup plus précis et spectaculaires
sur ces vaisseaux géants.
Ci-dessus (Illustration 9) : Reconstitutions graphiques du cylindre
photographié dans la division de Keeler. La largeur de la divisions de Keeler
est estimée à 42 km. La largeur du cylindre occupe environ un tiers de 42 km,
soit 14 km. La longueur du cylindre vaut environ 10 fois sa largeur, soit 140
km. La partie avant du cylindre semble inclinée et forme un espace sombre
circulaire (A). La partie arrière du cylindre semble montrer une dépression
formant une plate-forme moins haute avec une sorte de pointe verticale
émergeant de sa surface que l’on retrouve aussi vers l’avant de la structure
(B).
L’opinion du Dr Steven M. Greer.
D’après le Dr Steven M. Greer (initiateur du Disclosure
Project, le « Projet Révélations »), d’autres vaisseaux spatiaux
étrangers en forme de « soucoupes » auraient été photographiés par la
sonde Cassini en 2004, mais les photos auraient été censurées par la Nasa.
Voici un extrait de l’interview donnée par le
Dr Greer le 29 octobre 2004 à la radio « Coast to Coast », et réitéré
le 28 mars 2005 sur la radio « Ici et maintenant » :
« Vous n’ignorez sans doute pas que
la société Lockheed Martin a été impliquée à divers stades dans la mission
Cassini vers Saturne. Les images de la sonde Cassini sont développées et
analysées au « Space Science Institute » de Boulder, dans le
Colorado, là où se trouvent mes principaux contacts. Pour en venir directement
au fait, certaines de ces images ont révélé la présence non seulement d’un,
mais de plusieurs grands engins d’origine non terrestre. Les angles (sections
droites et régulières) que présentent ces engins sont de telle sorte qu’on ne
les trouve généralement pas dans la nature et il est ainsi évident qu’il ne
s’agit pas d’astéroïdes ou d’autres débris pris dans le champ d’attraction de
la planète. Les objets se présentent comme des « soucoupes striées »,
ayant la forme classique d’une « soucoupe volante », avec plusieurs
arêtes qui s’échelonnent en partant du centre pour créer une forme quasiment
prismatique. Vues du dessus, ils ont une forme qui rappellerait quelque peu une
toile d’araignée sphérique. Les photos sont nettes. Je n’en sais pas tellement
plus sur ces objets ou ces engins, mis à part le fait que leur présence n’était
pas totalement inattendue et qu’elles n’ont pas particulièrement alarmé les
diverses agences spatiales. Depuis que nous envoyons n’importe quel truc en
l’air en direction de l’espace, nous rencontrons ces objets, y compris pendant
les atterrissages sur la Lune ».
Inutile de préciser que cette interview est à
prendre avec toutes les précautions d’usage. Les propos du Dr Steven M. Greer
tendraient cependant à confirmer mes propres conclusions concernant la présence
de vaisseaux géants dans les anneaux de Saturne ou à proximité de cette
planète. Greer évoque surtout des engins de forme discoïdale, mais il ne semble
pas exclure la présence d’autres types de vaisseaux. A noter aussi sa remarque
concernant le fait que les agences spatiales qui possèdent ces informations, ne
sont pas alarmées par ces découvertes et semblent préparées à les
recevoir.
Les« EMV »
du docteur Bergrun.
Comme
nous venons de le voir, il semble qu’un des secrets les mieux gardés de la Nasa
soit celui des anomalies visibles dans les anneaux de Saturne. Il s’agit
pourtant d’un sujet très important qui devrait passionner les astronomes
professionnels. La planète Saturne garda ses mystères pendant longtemps jusqu’à
ce qu’enfin nos technologies permettent de détecter des anomalies surprenantes
autour de cette planète gazeuse aussi légère qu’une bulle de savon (si l’on
pouvait construire une piscine assez vaste, Saturne y flotterait).
Outre
les images que je présente dans cet article, d’autres clichés obtenus avec le
télescope spatial Hubble montrent des objets oblongs de très grande taille dont
un, bien visible sur les documents, est situé à l’extérieur de l’anneau A. Les
images datent d’avril 1996. Selon le D. Norman R. Bergrun, les images du
télescope Hubble révèleraient la présence d’engins spatiaux gigantesques (des
milliers de kilomètres de long selon lui) qui se déplaceraient dans, et à
proximité, des anneaux de Saturne. Il a nommé ces gigantesques vaisseaux, les «
Ringmakers », parce qu’il pense que ces engins sont apparemment les
« fabricants » des anneaux de Saturne. Ces affirmations nous
sembleraient totalement farfelues si elles avaient été simplement extraites
d’un site Internet sans aucune indication de leur source. Hors il s’avèrent que
cette dernière est bien connue et qu’elle présente apparemment toutes les
garanties de sérieux et de respectabilité.
Il va sans dire que les affirmations du Dr. Bergrun concernant la présence de vaisseaux géants dans les anneaux de Saturne n’est pas prise officiellement au sérieux par la Nasa. Alors pourquoi ce scientifique reconnu pour ses travaux sur des projets à la pointe de la technologie s’est-il lancé dans des allégations extraordinaires au risque d’y perdre sa réputation et sa crédibilité ? A-t-il soudain perdu la raison ou a-t-il osé briser le silence qui entoure certains secrets de l’agence spatiale américaine. Selon Bergrun, il y a des « sujets » à la Nasa dont on ne parle pas. C’est la règle, et malheur à celui qui oserait passer outre.
Téléchargez
au format PDF (2,17MO)
le livre du Dr Norman
R. Bergrun (photo ci-dessus) intitulé : The Ringmakers of Saturn
Ci-dessus (Illustration 10) : Il existe d’autres documents que ceux
étudiés dans cet article concernant la présence éventuelle d’engins inconnus
dans les anneaux de Saturne. Il est fait notamment référence à une série de
photos prises en infrarouge (et en séquence) par le Télescope spatial Hubble,
le 26 avril 1996. En analysant ces documents, des scientifiques ont
officiellement déclaré qu’ils avaient découvert de nouvelles lunes de Saturne.
Mais ce qui n’a pas été expliqué par ces savants, c’est l’objets marqués
« C » sur l’une des photos et qui semble en orbite autour de l’anneau
extérieur de Saturne. Il se comporte comme s’il suivait une trajectoire
parallèle à cet anneau (photo, crédit Nasa).
2001 : l’odyssée de l’espace : une œuvre codée ?
Pour clore cet article sur les énigmatiques photos de la Nasa montrant
un « cylindre » dans les anneaux de Saturne, je souhaite prolonger
mon analyse en l’orientant vers un autre mystère, celui d’une œuvre
fascinante : 2001 : l’odyssée de l’espace.
Tout le monde connaît le roman d’Arthur C. Clark qui a été
publié en 1968 sous le titre 2001 : l’odyssée de l’espace. Ce roman
a été écrit parallèlement à l’élaboration du film de Stanley Kubrick qui
porte le même nom et qui est également sorti en 1968. Le scénario du film et le
roman correspondant ont été écrits conjointement par Clarke et Kubrick.
Certains passages du roman ont été retravaillés après le visionnage quotidien
de certaines scènes originales du film, et inversement, le scénario a incorporé
quelques idées tardives du roman.
Une des différences essentielles entre
l’œuvre d’Arthur C. Clark et le film de Stanley
Kubrick concerne la destination vers laquelle se dirige le vaisseau spatial
Explorateur 1. Dans le film, le vaisseau se dirige vers la planète Jupiter
autour de laquelle le monolithe noir est en orbite. Dans le roman, il se dirige
vers Japet, un satellite de Saturne, à la surface duquel se trouve le
monolithe. Pourquoi cette différence entre les objectifs de la mission ?
Ci-dessus
(Illustration 11) : Deux
affiches du film 2001 : l’odyssée de l’espace, représentant le
visage de L’Enfant des Etoiles. Le roman d’Arthur C.
Clark et le film de Stanley Kubrick s’achèvent par la venue sur la Terre
de L’Enfant des Etoiles qui est un être nouveau (un mutant) qui possèdent
d’immenses pouvoirs psychiques. Il est le fruit de la rencontre entre l’homme
et le mystérieux monolithe noir, que j'appelle : « Eux ».
Si j’ai décidé d’évoquer dans cet article 2001 : l’odyssée de l’espace, c’est parce que je considère que ce n’est pas seulement une œuvre majeure de la science-fiction du XXe siècle, mais que c’est aussi une œuvre à clé, une œuvre codée en quelque sorte, qui est porteuse de nombreux « messages » qui doivent être explicités. Pour ma part, je considère qu’il y a un « avant » et un « après » 2001 : l’odyssée de l’espace dans de très nombreux domaines, et pas seulement dans celui du 7e art. Le film est tout à la fois, une expérience visuelle, sonore, esthétique et même spirituelle, d’une force exceptionnelle. C’est une méditation métaphysico-esthétique sur les êtres conscients et les civilisations qui peuplent l’Univers. 2001 : l’odyssée de l’espace est une vaste fresque qui pose les éternelles questions de la philosophie : D’où venons-nous ? Que faisons-nous sur cette minuscule planète bleue ? Où allons-nous ? Qui sommes-nous ? L’Univers est-il habité par d’autres formes de vies intelligentes et des civilisations beaucoup plus évoluées que nous ? Quelle place occupons-nous sur l’échelle de l’évolution cosmique ? Sommes-nous accompagnés, ou guidés, dans notre évolution par une forme d’intelligence très en avance sur nous ? Quelle est la finalité de la vie, de l’intelligence et de la conscience dans l’Univers ? Toutes ces questions ne sont pas directement formulées dans le film, mais elles sont habilement suggérées. Quant aux réponses, elles ne sont qu’habillement esquissées. Le roman d’Arthur C. Clark et le film de Stanley Kubrick nous disent que des formes de conscience extrêmement évoluées existent dans notre Galaxie. Non seulement l’homme n’est pas seul, mais il est même guidé, et en quelque sorte « inspiré », par des formes de vie et de conscience qui lui sont très supérieures. D’une façon générale, les sources de « 2001 » sont à rechercher dans les nouvelles et les romans de Clarke qui décrivent la rencontre de deux civilisations : l’une relativement primitive, l’autre hyper-évoluée. C’est peut-être aussi ce que nous sommes en train de vivre aujourd’hui. La découverte de vaisseaux géants dans les anneaux de Saturne nous entraîne dans cette voie de réflexion et nous demande de reconsidérer notre place dans l’univers.
En ce qui concerne plus particulièrement le
cinéaste Stanley Kubrick, nous savons qu’il entretenait des rapports
ambigus (voir secrets) avec la Nasa. Pour son film 2001, l’Odyssée de
l’espace, le réalisateur avait fait appel à Harry Lange, un ancien
conseiller de l’agence spatiale gouvernementale, et avait utilisé un objectif
spécial de caméra produit par la Nasa pour filmer certaines scènes. Dans Shining,
un de ses films les plus « dérangeants » dans lequel sont habilement
dissimulés des informations concernant les projets de contrôle mental de la CIA
(Monarch : un sous-projet de MK-Ultra), Kubrick fait porter à Danny
(le petit garçon héros du film) un pull sur lequel est écrit en gros :
Apollo 11. Je précise tout de suite que je ne crois pas du tout à la théorie
selon laquelle l’homme n’aurait jamais marché sur la Lune en 1969, et que c’est
Kubrick qui aurait réalisé les prises de vue de la fameuse mission Apollo 11.
C’est une théorie totalement farfelue qui ne résiste pas à l’analyse. En
réalité, le mystère entourant les rapports entre Kubrick et la Nasa sont
ailleurs. J’aime à dire que le cinéaste était un « initié » et qu’il
connaissait « l’envers du décor » si je puis dire, c’est-à-dire tout
ce qui concerne « ce dont on ne doit pas parler à la Nasa ». A
travers 2001, l’Odyssée de l’espace, Kubrick cherche à nous dire qu’«
Ils » sont déjà là, depuis très longtemps (depuis l’aube de l’Humanité
sans doute), et que nous avons déjà pris contact avec « Eux ». Il le
fait de façon magistrale, et il nous emmène plus loin encore : l’Humanité
va connaître une phase de mutation avec la venue de L’Enfant des Etoiles
(chapitre 47 du roman).
Daniel Robin
Juin 2018
Je ne vois rien dans ces photos:
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