Enquêtes 2.



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ENQUETES REALISEES
PAR OVNI INVESTIGATION
Partie 2



Nous présentons sur cette page les principales enquêtes réalisées par l’équipe d’enquêteurs de l’association Ovni Investigation. Ce sont des enquêtes qui ont été effectuées sur le terrain auprès des témoins concernés. Elles représentent un énorme travail d’investigation qui a toujours été fait de façon bénévole. Je remercie tous les enquêteurs de l’association qui n’ont pas hésité à donner de leur temps et de leur énergie pour faire avancer la recherche sur les ovnis.

Daniel Robin
Président de l’association Ovni Investigation



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- Enquête -
 L'AFFAIRE DE POITIERS
Un triangle noir en plein jour
Août 1999 - VIENNE




Lieu : Poitiers
Date : le 11 août 1999.
Heure : midi environ.


Le récit du témoin, Monsieur Laurent F. : 

« Je travaillais bénévolement avec une bande de copains sur un char pour la techno parade qui allait se dérouler à Paris. La mairie nous avait généreusement prêté un local pour travailler sur notre char, à savoir l’usine désaffecté Miko, située tout près de Poitiers. Il était midi environ, et presque tous les employés étaient partis de l’usine pour aller déjeuner, ou pour vaquer à diverses taches domestiques.

Nous n’étions plus que deux personnes à l’usine pour bricoler sur le char, occupés à résoudre des tâches basiques de métallerie.

Pendant que nous réfléchissions à je ne sais plus quel problème, je me suis senti fortement observé. C’est comme quand on est regardé avec insistance par quelqu’un, par exemple dans une foule, et que spontanément on se retourne vers l’observateur. De la même manière, j’ai levé mon regard, et là, ô stupeur, il y avait juste au-dessus de nous, à je ne sais quelle distance, disons entre 20 et 100 mètres, un triangle équilatéral noir parsemé de points colorés et contenant aussi quelques formes géométriques.

Ma surprise fut accompagnée de joie devant ce spectacle, alors j’ai montré du doigt l’objet à mon collaborateur. Il leva les yeux vers l’engin mais il avait plutôt l’air terrifié.

C’est mon dernier souvenir de l’événement.

Peut-être 2 heures plus tard, je me vois marcher en sortant des locaux de l’usine, sans souvenir de ce qui s’est passé après le début de l’observation. Les autres ouvriers bénévoles étais revenus, mais l’autre observateur qui était avec moi n’était plus là.

Intimidé et déboussolé, je n’ai parlé sur le moment à personne du phénomène.

Je n’ai pas posé de questions non plus.

Je n’en ai pas reparlé avec l’autre observateur depuis, puisque ne l’ayant jamais revu. »



Cliquez sur le document pour l'agrandir :


Ci-dessous : Illustration effectuée par le témoin montrant le triangle qu'il a observé en août 1999 vers midi.




Ci-dessus : Illustration du triangle dans l'affaire Xavier S. Les ressemblances entre le triangle de l'Affaire de Poitiers et celui de l'Affaire Xavier S. sont frappantes. Il manque seulement les cercles lumineux dans le premier cas.

Lien vers l’article consacré à l’affaire Xavier S. où nous avons fait un dessin de l’engin observé par ce témoin dans la banlieue Nantaise le samedi 27 août 2016 à 23h45 :
Affaire Xavier S. un triangle noir au-dessus de Nantes 



Enquête réalisée par Xavier S. membre de notre Réseau :

« Bonjour Daniel,
 Je te livre mes premières conclusions concernant l’enquête que j’ai réalisé hier (le 20 mars 2019) concernant l’observation de M. Laurent F. qui habite près de Poitiers.
Le témoin a tout d’abord déclaré que le triangle qu’il avait observé pendant deux secondes environ et sans tenir compte de son « amnésie » passagère, ressemblait beaucoup à mon observation du 27 août 2016 à Nantes. Surtout concernant 2 éléments du triangle :
- Les petits points lumineux de différentes couleurs constellant la surface inférieure de l’engin.
- Le carré (strié aussi) lumineux situé en plein centre du triangle.
Par contre, le témoin n’a pas vraiment le souvenir d’avoir vu trois cercles lumineux situés aux extrémités des pointes du triangle, comme c’est le cas dans beaucoup de témoignages de ce genre (comme dans mon observation par exemple).
Le témoin a cru voir « un grand cercle » entourant tout le triangle.
Il a répété ce fait 2 ou 3 fois.
Lorsqu’il m’en a parlé, j’ai pensé au triangle que j’avais vu « sortir » d’une boule blanche et très lumineuse. Dans le cas de Monsieur F. c’était plutôt comme un « cercle » lumineux.
Deux autres éléments dans l’observation de Monsieur F. me semblent très importants : 
- Le « phénomène d’amnésie » dans lequel le témoin a été plongé juste après son observation, pendant 1 à 2 heures (le temps d’une longue pause déjeuner).
- Le témoin a retrouvé ses esprits progressivement. Cependant, il ne sait pas ce qu’il a fait pendant tout ce temps, et il n’a pas vu le second témoin partir. Il n’a pas vu aussi les autres bénévoles revenir de leur pause déjeuner.  
Des amis du témoin lui avait proposé de venir avec eux pour aller voir l’éclipse totale du Soleil du mois d’août 1999. Le témoin avait refusé, car il leur avait dit qu’il avait un travail à effectuer. S’il avait accepté l’invitation, il n’aurait pas vu le triangle.
Son observation a eu lieu quelques heures avant l’éclipse totale du Soleil, le 11 août 1999, ce qui permet de dater précisément les événements.
J’ai moi-même vu l’éclipse totale près de Beauvais.
Conclusions : le témoin semble digne de foi. Il ne s’est jamais contredit dans ses déclarations. Malheureusement, l’observation est assez ancienne, elle remonte à 20 ans, et surtout elle n’a duré que 2 à 3 secondes, si bien que la taille, la distance du vaisseau sont assez approximatives.
Le second témoin ne sera sans doute jamais retrouvé. C’était un bénévole, n’ayant à cette époque aucune affinité avec le témoin principal, Monsieur F.
Restant à ta disposition pour des informations complémentaires. »

Amitiés 
Xavier   

Notre Réseau national d'enquêteurs.
Lien : 




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- Enquête -
 L'AFFAIRE LARRESORE
Un triangle noir en plein jour
Septembre 2012 - Pyrénées -Atlantiques





Le récit du témoin :
Le témoin préfère garder l'anonymat. 

« J’étais sur la terrasse en famille, entre 19h00 - 20h00, le 2 septembre 2012.
Il faisait encore grand jour et le ciel était bleu.
Mon regard fut attiré vers l’Ouest par une forme sombre, située à environ 200 à 300 mètres de moi, et à environ 20 à 30 mètres d’altitude.
La forme était d’un noir profond.
J’ai initialement pensé que c’était une sorte de « déchirure » dans le ciel, car je voyais le fond de l’univers. Puis j’ai très nettement identifié un triangle avec des bords très nets, très rectilignes. C’était un triangle isocèle ou équilatéral avec des bords de 15 à 20 mètres, ou peut-être plus.
Ce qui m’a marqué le plus, ce sont ses bords très rectilignes. Toute structure de cette longueur doit normalement ployer sous son propre poids comme les ailes d’un avion par exemple. 
Les deux bords visibles depuis mon point d’observation apparaissent parfaitement rectilignes, acérés.
Ici, les droites étaient parfaites, parfaitement droites. Le noir était profond, parfait également.
Il y avait un silence total, ou du moins je n’entendais rien.
L’engin était stationnaire et semblait échapper à la gravité.
L’observation n’a duré que quelques secondes, et l’objet a disparu dans un silence total, en un « clignement d’œil ».
Je n’ai pas eu le temps de prévenir mes voisins, car l’observation a été très courte et j’ai pensé sur le coup que j’avais été victime d’une hallucination.
Quelques heures plus tard, mon beau-père qui était avec nous sur la terrasse ce soir-là est décédé d’un arrêt cardiaque.
J’ai pensé avoir eu une hallucination prémonitoire du décès de mon beau-père.
J’en ai parlé le jour de sa mort à mon épouse, et cela en était resté là pendant toutes ces années.
Puis je suis tombé par hasard, en décembre dernier, sur un reportage sur les ovnis, et j’ai réalisé que ce que j’avais vu avait été observé par d’autres de façon plus longue et plus précise.
J’ai donc décidé de témoigner pour partager cette expérience et essayer de trouver des explications.
Toutes ces distances et mesures viennent de ma perception de la distance de l’objet et de la netteté des arêtes, par rapport aux toitures et à la végétation dans mon champ de vision. 
Il est possible aussi que l’objet était en réalité plus éloigné, et plus haut, et dans ce cas ses dimensions devaient être plus grandes. »



Cliquez sur la photo pour l'agrandir :



Ci-dessus : Position du triangle noir par rapport à l’observateur. Observation de quelques secondes depuis le point 43.369-1.436 Larresore (64). Date : 2 Septembre 2012. Fin de journée, entre 19h et 20h. Jour, ciel dégagé, temps clair et calme.  Suspendu / « posé » : 10 à 20 mètres au-dessus des toits des maisons. Noir profond / intense. Les deux bords visibles depuis le point d’observation apparaissent parfaitement rectilignes. Pas de bruit perceptible, état stationnaire. Pas de lumière visible. Disparition dans un « clignement d’œil » et sans aucun bruit.


Cliquez sur les photos pour les agrandir :


Ci-dessus : Deux reconstitutions réalisées par Monsieur G. à partir du lieu de l'observation.



Mail de Monsieur D. :

Bonjour Monsieur Robin,
Ci-joint photo du lieu, croquis et résumé de mon observation.
J’ai appris hier que ce radar (le radar d’Artzamendi) est civil et militaire.
Il surveille la zone du golf de Gascogne,
J’ai échangé avec M. Sabry G., gestionnaire du site Delta Initiative.
Merci pour la mise en contact, et j’ai commencé la lecture de votre livre Les triangles de la nuit
J’ai également pris connaissance du rapport Cometa.
C’est édifiant !
Stupéfiant que ce rapport n’est pas connu plus de publicité à l’époque. Est-ce que nos gouvernants se sentant impuissants préfèrent la politique de l’autruche ou refusent-ils de communiquer avec la population par crainte de troubles et de déstabilisation des pouvoirs en place ?

Cordialement,
Monsieur D.



 Ci-dessus et ci-dessous : le radar d’Artzamendi qui est situé à 900 mètres d’altitude sur la commune d’Itxassou à environ à 10 km à vol d’oiseau de Larresore. Le témoin m'a signalé ce radar qui est la seule installation sensible dans les environs à la fois destinée à l'aviation civile et militaire, et qui aurait pu détecter le triangle noir.




Analyse :

Cette affaire est digne d’intérêt parce que le triangle noir a été vu en plein jour (entre 19h et 19h30 en septembre), ce qui reste très rare. En général, les observations sont nocturnes.
J’ai échangé de nombreuses fois avec le témoin au téléphone et il m’a dit qu’il n’aurait jamais pensé qu’un tel phénomène puisse exister. Pour lui c’était impossible : « Si vous me l’aviez raconté sans que je l’ai vu, je ne vous aurais jamais cru », me confia-t-il. Le témoin a une formation d’ingénieur généraliste (bac+5), et il est très rigoureux dans sa façon de penser.
En ce qui concerne la description du triangle noir, il est important de noter certaines caractéristiques qui reviennent assez souvent dans les témoignages.
En particulier, le témoin a été impressionné par la forme très droite et même « acérée » des bords de l’engin : « Ce qui m’a marqué le plus, ce sont ses bords très rectilignes. Toute structure de cette longueur doit normalement ployer sous son propre poids comme les ailes d’un avion par exemple. Les deux bords visibles depuis mon point d’observation apparaissaient parfaitement rectilignes, acérés. Ici, les droites étaient parfaites, parfaitement droites. »
La qualité du noir du triangle est aussi une constante dans les témoignages : « La forme était d’un noir profond. »
A noter ici un phénomène qui semble inhabituel : « J’ai initialement pensé que c’était une sorte de « déchirure » dans le ciel, car je voyais le fond de l’univers. »
Mon interprétation est que le noir du triangle était si intense qu’il donnait l’impression d’être une sorte de « déchirure » ou d’« ouverture » dans le ciel. Ce n’est à mon avis qu’une illusion d’optique créée par la qualité très particulière du noir de l’engin.
Enfin, le silence presque absolu est aussi souligné : « Il y avait un silence total, ou du moins je n’entendais rien. »
L’observation a été estimée à 5 secondes environ.
Les dimensions du triangle sont celles qui sont généralement données : 15 à 20 mètres pour la longueur des bords.


Daniel Robin



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- Enquête -
 L'AFFAIRE ROCHEFORT
Un triangle noir survole une base aéronavale
Novembre 1991 - Charente-Maritime




Le récit du témoin :
Le témoin préfère garder l'anonymat.

« En sortant du foyer des élèves de la base école de l’aéronautique navale de Rochefort, un peu avant 20 heures, mon attention a été attirée vers le ciel par le bruissement léger d’un déplacement d’air. J’ai alors constaté, totalement incrédule, que le ciel entier était caché par un gigantesque triangle noir, défini par trois feux blanc fixes. L’objet se déplaçait sans efforts apparents et à faible vitesse (peut-être 30 ou 40 km/h) Je suis passé devant deux jeunes élèves, aussi incrédules que moi, dons l’un disait à l’autre sur le ton de la plaisanterie que maintenant il allait croire aux ovnis. J’ai contourné un premier bâtiment de logement pour prolonger un peu l’observation, puis j’ai rejoint ma chambrée sans trop comprendre à quoi je venais d’assister. »





Ci-dessus : reconstitutions à partir des photos de la base aéronavale de Rochefort. Le triangle noir était plus grand que la cour d’honneur de la base, c’est-à-dire que ses dimensions étaient estimées à plus de 100 mètres de longueur. Il couvrait presque entièrement la base (le ciel étoilé n’était plus visible).



Ci-dessus : Vue d'ensemble de la base aéronavale de Rochefort avec en haut à droite la cour d'honneur au-dessus de laquelle a été observé le triangle noir (source Google Earth).


Analyse : 

Lors de notre conversation téléphonique le témoin, qui est un militaire à la retraite, a précisé que le triangle a survolé la base à basse altitude sans aucun bruit. Il était plus grand que la cour d’honneur de la base (voir les photos de la base avec et sans triangle noir), c’est-à-dire que ses dimensions étaient estimées à plus de 100 mètres de longueur. Il couvrait presque entièrement la base (le ciel étoilé n’était plus visible). Il venait du sud et se dirigeait vers le nord. Plusieurs personnes qui se trouvaient dans la cour d’honneur ont pu observé l’engin.
Durée de l'observation : environ 3 minutes.
Le ciel était dégagé.
Hauteur estimée du triangle par rapport au témoin : entre 100 et 200 mètres.
Le témoin a été étonné de n’avoir eut aucune information de la part des officiers de la base concernant ce survol d’une base militaire par un engin inconnu. Pour lui, ce n’était pas un engin d’origine humaine. Le témoin est tout à fait crédible.
A noter qu’au sud de la base il y a un aéroport militaire plus grand avec des radars (aéroport Rochefort Charente-Maritime).



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Une étude exceptionnelle